Les syndicats CNT du Maine-et-Loire se joignent au mouvement de boycotte de DHL en soutien à la Palestine et aux camarades du Syndicat des Travailleurs des Services Postaux Palestiniens.
Archive for the ‘Tracts’ Category
DHL boycotte la Palestine ? Nous boycottons DHL !
mercredi, janvier 17th, 2024A partir du 10 janvier, grève générale
vendredi, décembre 30th, 2022Les syndicats CNT du Maine-et-Loire appellent l’ensemble des classes laborieuse à faire grève et à manifester le 10 janvier prochain contre la réforme des retraites. A organiser la grève sur les lieux de travail.
Casse de la retraite
mercredi, décembre 11th, 2019Il est l’heure de la révolution sociale et libertaire
jeudi, septembre 19th, 2019Manifestation le 22 septembre contre l’extrême droite et son monde
samedi, septembre 8th, 2018AGRESSION DES ÉTUDIANT.ES DE MONTPELLIER PAR DES NERVIS FASCISTES
jeudi, avril 5th, 2018
Le jeudi 22 mars, des étudiant-e-s, suite à une décision d’AG, occupent un amphithéâtre de la faculté de droit et de sciences politiques de Montpellier, dans le cadre des mobilisations massives dans la France entière contre les nouvelles attaques sociales de Macron et de son gouvernement contre les services publics, notamment la réforme du lycée et de l’enseignement supérieur.
Le soir venu, un groupe de 10-15 personnes cagoulées et armées de barres de bois et de taser, pénètrent dans l’amphithéâtre. S’ensuit un déluge de violence contre les étudiant.es occupant l’amphi. De nombreux témoignages attestent que le doyen Philippe Pétel a ouvert la porte au commando, et applaudissait quand les coups pleuvaient.
Plusieurs étudiant-e-s seront évacué.es vers l’hôpital. Points de sutures, entorses, hématomes au crâne, tel est le tribut payé par ces étudiant-e-s qui luttent pour leurs droits et pour les nôtres.
Philippe Pétel, doyen de la faculté, refuse de condamner les attaques, se montrant même complaisant avec cette milice paramilitaire. La préfecture, la rectrice, l’administration, les ministères adoptent une position timorée, fidèles à leurs habitudes de traîtres, de lâches et de complices.
La police, présente à l’extérieur, n’est pas intervenue durant l’agression. D’où tenait-elle ses directives ? Depuis, sur des sites fascistes, certains ont désigné des membres du GUD (Groupe Union Défense), groupe d’extrême-droite particulièrement violent et officiellement dissous) comme faisant partie des agresseurs…
La semaine dernière déjà, le vendredi 16 mars, le lycée autogéré de Paris a été attaqué en plein jour par une dizaine d’individus se réclamant également du GUD. En opposition aux pratiques pédagogiques libertaires et émancipatrices du lycée, les individus effectuent des saluts nazis, insultent, jettent des projectiles contre le bâtiment et agressent deux élèves qui seront blessé-e-s.
À présent, les fascistes ne craignent plus de se montrer en plein jour et en pleine nuit dans les lieux publics, les rues, les universités, dans leurs locaux qui fleurissent un peu partout (Aix-en-Provence, Chambéry, Lyon, Strasbourg…), avec la complaisance des autorités.
Quoi de plus normal : l’extrême droite tente parfois de se recouvrir d’un vernis « anti-système », mais le fond de son idéologie est profondément opposé aux intérêts de la classe ouvrière, elle n’est que le bras armé du Capital et des classes dirigeantes, comme on l’a vu à Montpellier.
La répression contre toute forme de contestation du pouvoir et de ses réformes antisociale enfle et se déchaîne contre les militant-e-s, les précaires, les opprimé-e-s, instituant un peu plus chaque jour un État policier de plus en plus décomplexé, qui aboutit à ce qu’un doyen de fac se sente le droit de faire appel à des milices fascistes s’il estime que les flics n’agissent pas assez vite pour mettre fin à une occupation…
Lors de manifestations contre les lois Macron, les forces répressives de l’État avaient également visiblement pour directives de frapper fort et de faire des exemples, avec des charges d’une rare violence.
Il s’agit d’une politique de terreur visant à décourager la mobilisation. Les travailleuses et les travailleurs ne doivent pas céder à l’intimidation. Plus que jamais, nos droits sociaux, nos acquis historiques, nos libertés fondamentales, sont menacés.
Quand la bourgeoisie se sent assez forte pour attaquer nos droits, assez forte pour avoir recourt à des moyens aussi indignes, il est primordial que les travailleuses et les travailleurs fassent preuve de la plus grande vigilance et s’organisent pour riposter collectivement.
A Angers, l’AG de la fac de droit St Serge a été perturbée par 15 fachos du RED (Rassemblement d’étudiant de droite), qui ont menacé les participant de leur faire subir le même sort qu’à Montpellier.
Face à la bourgeoisie, face aux fascistes, nous ne reculerons pas. Ils ne passeront pas.
LA CNT
La Poste : Gros malaise à la PIC Angers
vendredi, décembre 15th, 2017Depuis de longs mois, les agents de la PIC Angers assistent au démantèlement de leur outil de travail, à la disparition massive des emplois et à l’organisation de la précarité par le recours massif à l’emploi temporaire de longue durée, à la multiplication et concurrence malsaine des statuts (fonction publique, CDD CDI, intérim) dans un dialogue social sauce « La Poste » !
Les organisations syndicales et le personnel sont malmenés et utilisés comme cautions et otage du bulldozer de la rentabilité à tout prix ! Au prix de l’insécurité, de l’intimidation, de la menace !
Les agents de la PIC ont débrayé, puis observé 2 jours de grève en solidarité avec un agent licencié brutalement, dans des conditions qui ont scandalisé une majorité de ses collègues.
Le système de management postal montre encore une fois sa violence, qui conduit du mépris au cynisme !
La devise éculée « diviser pour mieux régner » est toujours de rigueur chez nos managers !
La CNT soutient sans réserve notre collègue privé de ses moyens de subsistance.
Notre solidarité est la seule attitude digne face à un monde du travail déshumanisé, où nous ne sommes qu’une ressource consommée, maltraitée, jetée !
Angers le 14/12/2017
CNT-PTT 49
c/o L’Étincelle
56, boulevard du Doyenné, 49100 ANGERS
– Contact : ptt49@cnt-f.org
Contre la suppression annoncée de milliers d’emplois
vendredi, novembre 10th, 2017Manifestations ? Négociations ? NON GRÉVE GÉNÉRALE !
jeudi, novembre 2nd, 2017Syndicats CNT du Maine et Loire : Interpro 49 / PTT 49 / STE 49
Contre les lois antisociales, Riposte radicale !
Appel à la Grève générale et illimitée !
Les capitalistes ont passé la vitesse supérieure, eux !
Après toutes les lois Sarkozy et celles des autres avant lui. Après les lois Macron, qui ont pris les travailleurs le droit de choisir leur aide aux prud’hommes. Après la loi El Khomri (inspiré par Macron), et son cortège de destructions, notamment des prud’hommes. Après les ordonnances, qui finissent d’achever les CHSCT.
C’est maintenant la Sécu qu’ils veulent finir de nous enlever !
Comment vas tu payer ton traitement contre le cancer ? Contre le diabète ? Comment paieras-tu pour ta mère, ton père, ta fille ou ton fils ? Sais-tu seulement combien ça coûte ? Vendras-tu ta maison, payée à la sueur de front ? Comment feras-tu demain avec les miettes que Macron et ton patron te donneront ?
Ils diminuent les cotisations patronales depuis 40 ans, ils empêchent l’augmentation des salaires depuis tout ce temps et maintenant, quoi ?! Ils veulent diminuer les cotisations salariales en te promettant que cela augmentera ton salaire !
On te prend pour un con camarade, et tu le sais !
Dans le même temps, on produit tous collectivement 2 000 milliards d’€ de richesse par an. Les 500 familles les plus riches possèdent plus de 500 milliards d’€ de fortune. Macron leur en redonne en plus ! Alors que toi, tu es sensé de taire, baisser la tête et retourner au turbin !
Les centrales syndicales se chicanent entre elles pour savoir qui aura le plus dans la gamelle que leur donne le grand patronat depuis des années ; c’est que la soupe doit être bonne… Et pendant ce temps là, ces « partenaires sociaux » profitent de tes combats. Ils te somment de te mobiliser à la date de leur convenance et nous perdons tous. Leurs intérêts ne sont plus les nôtres !
Nous n’aurons que ce que nous prendrons.
Organisons-nous !
Il y a urgence camarade ! Sur le lieu de travail, en Assemblée Générale des travailleuses.eurs, décidons collectivement des moyens d’action dont nous avons besoin pour bloquer l’économie et forcer les capitalistes à rendre ce qu’ils nous ont volé. Prenons-nous en main et collectivement nous serons plus fort et le poing levé.
Seule la Grève Générale
et illimitée paie !
Dès le 16 novembre dans la rue, sur les lieux de travail, tous les jours !