Obéir ou réfléchir, subir ou agir, nos choix sont clairs et révolutionnaires !
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT n’ont pas la moindre intention d’assister sans réagir à la mutation de l’Éducation nationale en machine à broyer la jeunesse à coup de SNU, d’uniforme, de Marseillaise et de compétition scolaire.
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT ne comptent en aucun cas collaborer à la mise en œuvre de ce programme réactionnaire et démagogique à rebours des valeurs émancipatrices et égalitaires d’un service public d’éducation populaire.
• Les travailleurs et travailleuses de l’éducation de la CNT seront en grève et souffleront sur les braises autant qu’il le faudra pour rallumer l’espoir et réduire en cendre l’école capitaliste et le monde qui l’a engendrée.
la Confédération national du travail du Maine-et-Loire, appelle ses adhérents-es, sympathisants-es à se mettre en grève. Ainsi qu’a rejoindre la manifestation le 8 mars prochain.
La situation des femmes dans le monde empire, guerres, négations de leurs droits, prédations. La France n’est pas épargnée. Nous disons que cela suffit, le temps de la riposte est venu.
• La CNT exprime toute sa solidarité avec les femmes et les luttes féministes du monde entier, fruit de plus d’un siècle de mobilisation initié par Theresa Serber Malkiel et les mouvements féministes socialistes du début du XXᵉ siècle.
• La CNT exige l’égalité sociale réelle, la fin des discriminations liées au genre au travail comme dans toutes les sphères de la société et que cesse le refoulement de nos camarades exilées fuyant guerres, misère et dérèglement climatique.
• La CNT soutien les initiatives d’organisation des femmes sur leur lieu de travail et en dehors, sans patron, sans patronne, sans machiste et sans récupération par des mouvements réformistes cherchant le compromis quitte à laisser nos camarades sur le bord du chemin. Nous ne voulons pas d’aménagements du système patriarcal, nous voulons son abolition et, avec lui, la fin du capitalisme et du sexisme.
Les syndicats du Maine-et-Loire de la CNT s’opposent totalement au Pacte Enseignant, au SNU, à l’uniforme à l’école, au choc des savoirs, et toutes autres réformes réactionnaires de l’éducation nationale.
Pour nous l’école doit être émancipatrice et démocratique, gratuite. Nous croyons en l’égalité des chances réelle et non à une école qui fait le trie pour le patronat. L’école n’est pas une réserve de main d’œuvre pour les patrons. Nous rejetons le formatage des élèves en « bon petit soldat du capitalisme ». Nous rejetons également la militarisation de la société par le SNU et l’uniforme. Vos guerres ne sont pas nos guerres.
Obéir ou réfléchir, subir ou agir : nos choix sont clairs et révolutionnaires !
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT n’ont pas la moindre intention d’assister sans réagir à la mutation de l’Éducation nationale en machine à broyer la jeunesse à coup de SNU, d’uniforme, de Marseillaise et de compétition scolaire.
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT ne comptent en aucun cas collaborer à la mise en œuvre de ce programme réactionnaire et démagogique à rebours des valeurs émancipatrices et égalitaires d’un service public d’éducation populaire.
• Les travailleurs et travailleuses de l’éducation de la CNT seront en grève et souffleront sur les braises autant qu’il le faudra pour rallumer l’espoir et réduire en cendre l’école capitaliste et le monde qui l’a engendrée.
Les syndicats CNT du Maine-et-Loire se joignent au mouvement de boycotte de DHL en soutien à la Palestine et aux camarades du Syndicat des Travailleurs des Services Postaux Palestiniens.
À l’heure où l’idéologie fasciste et l’extrême droite paradent et s’ancrent profondément dans notre paysage politique, La CNT appelle à lutter contre toutes les formes de racisme et de discriminations. Nous devons refuser les discours fascistes, islamophobes, antisémites, et nationalistes. Nous nous opposons à la loi Darmanin fondée sur la stigmatisation des personnes migrantes, assimilées à des délinquant·es ou des criminel·les.
L’extrême droite est bien au pouvoir en France. La préférence nationale élevée en étendard. Vouloir vivre en France est maintenant un crime. Fuir la pauvreté ou la guerre est donc interdit.
Nous ne sommes néanmoins pas résignés, de cette société-là, on n’en veut pas !
À la CNT 49, nous avons appris avec soulagement le cessez-le-feu à Gaza. Mais ce soulagement, c’est immédiatement transformé en colère, 4 jours seulement !
Quatre petits jours pour échanger des otages et des prisonniers et puis recommencer à tuer sans discontinuer. Lire et entendre tous les dirigeants du monde se féliciter d’une telle « victoire » nous rend malade.
Les fachos de Netanyahou vont pouvoir fourbir leurs armes et se remettre à tuer dès ce délai passé. Quant au Hamas islamiste et fasciste, il va pouvoir instrumentaliser cette pause pour laisser croire aux palestiniens-ennes qu’il se soucie de leur sort.
Les gouvernements impérialiste, autoritaire, fasciste, essayent de faire croire au monde qu’ils œuvrent pour la paix tout en armant, finançant et soutenant les deux belligérants. Le peuple de Palestine est bien seul, coincé entre une occupation génocidaire et un pouvoir autoritaire qu’il soit du Hamas ou du Fatah !
Les peuples de Palestine, et d’Israël ont droit à la paix. Renverser les gouvernants des deux pays est une priorité. Instaurer une démocratie directe sur les deux territoires, proclamer un état de Palestine viable, est la seule façon d’arriver à la paix.
Pas de guerre entre les peuples, guerre sociale contre le capital !
Manifestation vendredi 24 novembre, 17 h 30, Mairie d’Angers.
Les syndicats CNT du Maine-et-Loire appellent à se joindre à l’ordre de mobilisation du collectif du 8 mars samedi 25 novembre.
Nous faisons le constat que les grands discours du gouvernement illibéral, « plus jamais ça » ne sont que du vent ! Les violences envers les femmes, les minorités sexuelle, sont toujours pas prises en compte avec sérieux par les autorités. Quoi de plus normal quand ce même gouvernement défend une idéologie nationaliste, et masculiniste ? Une idée de société ou le plus fort a toujours raison !
A nous toutes et tous d’organiser la riposte pour une société solidaire, juste, égalitaire, multi-ethnique, et sans violences !
Rendez-vous, samedi 25 novembre, 16h devant la Mairie d’Angers.
Fête de soutien à la lutte de la CNT contre People & Baby depuis 14 ans !
16h – OUVERTURE DES PORTES
17h – PROJECTION-DÉBAT QUAND LES FEMMES ONT PRIS LA COLERE de Soazig Chappedelaine et René Vautier, en présence de Moïra Chappedelaine-Vautier Documentaire — 1977 — 71 min — Tourné en 16 mm — Couleur — Version restaurée
À Couëron, en Loire-Atlantique, une usine métallurgique dépendant du trust Pechiney-Ugine-Kuhman est en grève. Pour marquer leur solidarité avec leurs maris grévistes, des femmes de travailleurs envahissent le bureau du directeur et obtiennent en deux heures ce qu’on leur refusait depuis des mois. Mais la direction porte plainte et douze d’entre elles sont inculpées pour séquestration. La mobilisation s’élargit. Le film donne à voir l’émergence d’une prise de conscience collective, à la fois féministe et ouvrière.
Depuis plusieurs semaine les ouvriers-eres du textile du Bangladesh sont en grève pour exiger un meilleur salaire. Ils/elles réclament 23.000 takas (208 euros) minimum par mois. Quatre fois plus que ce qu’ils et elles sont payés-es actuellement. Les travailleurs-euses du textile bloquent plusieurs usines et mènent des manifestations quotidienne. La réponse du gouvernement capitaliste est la même que partout dans le monde, LA RÉPRESSION. Quatre camarades sont déjà morts et des centaines blessés.
La CNT 49 apporte son plein soutien aux travailleurs-euses du textile du Bangladesh, et pointe du doigt la responsabilité des entreprises Levi’s, Zara, H&M et des autres dans cette répression. Les vautours du capital font fabriqués à bas coût par des travailleurs-euses exploités leur vêtements qu’ils revendent en maximisant leurs marges aux travailleurs-euses pauvres du monde entier.
Pas de paix entre les classes, guerre sociale contre le capital !