Stop aux Viol-ences des forces répressives de l’état !
Quelle belle démocratie que la France, « Liberté-Égalité-Fraternité », à chaque jour sa nouvelle preuve de cette réussite. Rémunération juste et intègre de nos politiques et de leurs collaborateurs pour leur travail, félicitations des forces de l’ordre respectueuses et irréprochables. Les excluEs de la mondialisation, les réfugiéEs climatiques ou de guerre accueilliEs à bras ouverts. Non y a pas à dire il fait bon vivre en France !
Une vérité que certains empoisonneurs, et fachos de tout poil voudraient nous faire croire. Non la France est en voie de désintégration politique, morale, ce n’est pas les pâles excuses sur la colonisation ou l’esclavage il y a quelques années qui ont changé les choses. Le simulacre de justice pour les très nombreuses violences policières durant la loi travail, une simple tape sur la main et encore, alors que bon nombre de victimes sont handicapées à vie. De l’autre elles et ceux que l’on présente comme des « casseurs » croupissent en prison ou sont en résidence surveillée.
Justice de classe ! Les forces répressives de l’état ont les mains libres ! Défiler encagoulés dans les rues et armés jusqu’au dent pour demander le droit de tuer, pas de problème ; manifester pour travailler dignement, partir à la retraite, ou simplement manger et se loger là par contre, c’est gênant. Et alors si par accident, quelques projectiles atteignent nos « pauvres » policiers, entraînés, en armure de la tête au pied, la réponse est toujours disproportionnée. L’État, quels que soient les gouvernements, les utilise, comme une police politique pour imposer par la force et l’humiliation son « semblant » de paix sociale.
Et encore s’il n’y avait que ça ! La police vient de franchir un nouveau cap, celui de la matraque dans l’anus par « accident », comme l’aurait dit un soldat dans un célèbre film, « j’ai glissé chef ». Pour la police des polices ce n’est pas intentionnel. Pendant ce temps, Théo, lui est à l’hôpital avec 60 jours d’ITT. Des émeutes et des manifestations de soutiens ont éclaté et très rapidement, les premières condamnations pour rebellions sont tombées. En revanche, les « quatre agents de l’ordre public » sont seulement suspendus.
La facho-sphère, elle, se déchaîne, attise la haine, « après tout, il est noir, il vît dans une cité, il a dû le chercher ».
CONTRE LA REPRESSION POLICIERE, L’OPPRESSION PATRONALE, CONTRE LES LOIS ANTISOCIALES DES GOUVERNEMENTS SUCCESSIFS, CONTRE LES FACHOS ORGANISONS-NOUS ! RISPOSTE IMMEDIATE !
LA CNT 49