Les échéances électorales régionales de juin prochain ou la grande mascarade de 2022 n’apportera aucun changement au système. Pour nous seuls la lutte par la grève et les manifestations pourra faire fléchir les décideurs et non un bulletin de vote glissé tous les 5 ans.
Les syndicats CNT du Maine-et-Loire appellent les invisibles, les précaires, les étudiants-es, les lycéens-nes, les non-essentielles, les retraités, les travailleurs-euses à descendre dans la rue le 1er Mai prochain afin de réclamer une vie digne pour toutes et tous.
Le jeudi 21 janvier 2021, en plein hiver, les forces de l’ordre et la préfecture ont procédé à l’expulsion de la Grande Ourse, un lieu militant et solidaire. Elle hébergeait de nombreuses personnes sans abris, des étudiants, des travailleurs pauvres… Les questions de pauvreté, d’égalité, de solidarité, étaient au centre des actions menées par ses militants, ils-elles organisaient d’ailleurs régulièrement des maraudes pour distribuer de la nourriture aux personnes à la rue. Les gens de l’extérieur pouvaient aussi s’y retrouver, il y avait régulièrement des événements culturels, projection de film, débats… Mais quel est donc le problème, à l’heure où les étudiants à Angers font face à une pénurie de logement, à l’heure où la crise du covid-19 plonge dans une misère une part de plus en plus importante des jeunes travailleurs-euses ? Le problème c’est que ces militant-es tiennent un discours politique, que par l’occupation d’un bâtiment inutilisé la sacralité de la propriété privée a été remise en cause. Ça c’est inacceptable, on ne remet pas cela en cause, surtout quand cette remise en cause profite à des gens qui ne comptent pas s’en servir à des fins capitalistes, surtout quand cela profite à des gens prônant des valeurs autres que la concurrence et l’enrichissement financier individuel. Donc voilà la préfecture va rendre le magasin de meuble à son propriétaire légitime sur le plan légal. Il va pouvoir y remettre des lits où personne ne dormira jamais ou faire d’autres projets lui permettant de gonfler un peu plus son capital.
Ce mois de janvier, est un mois bien triste pour la gauche angevine. La Grande Ourse est expulsée après le saccage d’un local associatif par les nazillons déjà bien connus et impunis quelques jours au par avant. Les cibles de la préfecture et de l’extrême droite sont les mêmes, ce sont ceux qui prônent d’autres valeurs que celle de la bourgeoisie capitaliste et de ses élites, ce sont ceux qui mettent en avant la solidarité, l’égalité et le droit à une vie digne qui sont victimes de ces violences. La différence est que la première agit sous couvert de légalité, l’autre comme les milices dont l’Europe garde un sombre souvenir. La mairie n’a même pas réagit alors que le saccage de ce local dont elle est propriétaire a bien été revendiqué par l’extrême droite tout en mettant en avant la « totenkopf » symbole des sinistres SS durant la seconde guerre mondial. Voilà où nous sommes rendus à l’heure actuelle, la mairie d’Angers ne réagit pas quand des fanatiques nazis mettent à sac un local municipal prêté à des associations. D’un autre côté ces fascistes occupent un autre bâtiment municipal, la mairie ne fait rien. Ils saccagent un local associatif, la mairie ne dit rien. La droite traditionnelle est en train de prendre un chemin bien inquiétant, en laissant faire l’extrême droite, elle se rend complice de ses agissements.
En période de crise sanitaire, la mairie d’Angers, mais aussi l’Etat, ont fait un choix fort. Réprimé les militants-tes qui proposent des alternatives à leur fonctionnement dogmatique, concurrentiel, où les travailleurs et les travailleuses sont considéré.e.s comme une charge pour le patronat capitaliste, où les travailleurs et les travailleuses privé.e.s d’emploi par cette bourgeoisie qui organise le chômage de masse sont montré.e.s du doigt comme des fainéants. Nos institutions et la droite de pseudo-opposition reprennent à leur compte les thématiques chères à l’extrême droite ainsi que certaines de ses théories conspirationnistes comme « l’islamo-gauchisme », qui fut jadis le « Judéo-bolchevisme ». Puis il la laisse s’organiser en milice et s’en prendre à des locaux associatifs en fermant les yeux. Mais c’était l’expulsion de la Grande Ourse la priorité, l’hiver et la crise sanitaire ça ne compte pas. Les personnes à la rue, ça ne compte pas…
» Maintenant Nicolas et Bart Vous dormez au fond de nos cœurs Vous étiez tous seuls dans la mort Mais par elle vous vaincrez «
J’écoute souvent la voix chaleureuse de George Moustaki qui chante ses mots. Tant de sentiment passe au travers de ce poème pourtant si court. Alors qu’il est inlassablement répété par le chanteur, il s’en dégage tant de tristesse, d’empathie, de colère et de détermination. À la fin de l’enregistrement, des cœurs se joignent à sa voix, quand je les entends, je sais que je ne suis pas seul, je sais que nous sommes nombreux à rejeter cette violence d’État qui dans ses pires extrémité a conduit nombre de personnes au supplice. Petit, cette chanson m’avait marqué, je ne la comprenais pas, mais son air devait me faire ressentir quelque chose. J’avais demandé à mon père ce que tout cela voulait dire. Il m’avait raconté l’histoire de Nicola Sacco et de Bartolomeo Vanzetti, il m’avait dit qu’il s’agissait d’innocents condamnés à mourir sur la chaise électrique pour un crime qu’ils n’avaient pas commis. Je ne sais pas si mon père m’avait dit si ces deux hommes étaient des anarchistes, de toute façon je n’aurais pas compris ce mot. Par contre, ils étaient italiens… Italiens, étrangers, ça je l’ai bien compris. Comment pouvait-on exécuter des gens innocents ? Pourquoi le fait qu’ils soient étrangers soit une circonstance aggravante? Et puis plus simplement pourquoi mettre des gens à mort ? Ce que mon père m’a expliqué ce jour-là à changer quelque chose en moi. Ce qui pour moi, enfants, était une incompréhension des agissements des adultes mêlée à un sentiment d’injustice est aujourd’hui, vingt ans plus tard, une véritable colère mêlée de tristesse peut-être même de désespoirs.
Cette colère, ce dégoût, je l’ai de nouveau ressenti ce matin à mon réveil, nous sommes le mercredi 13 janvier 2021… Cette nuit, Lisa Montgomery a été exécutée par injection létale au pénitencier de Haute-Terre dans l’Indiana. Elle aurait dû être assassinée la veille, mais elle avait obtenu qu’un ultime recours soit examiné. J’ai appris cela hier, naïvement j’étais satisfait, je suis allé me coucher en me disant qu’au moins cette abomination aura été évitée. Naïvement je pensais qu’avec la lenteur habituelle à laquelle va la justice bourgeoise, elle aurait le temps de voir Biden investir la maison blanche. Il l’aurait peut-être gracié, mais ce n’est que pure spéculation, rien ne contraint un élu aussi au placé soit-il à faire en sorte que ses paroles et ses actes soient cohérents. La justice bourgeoise sait quand elle doit se montrer rapide et cruelle. Lisa Montgomery a donc été exécutée dans la nuit 1h30 du matin heure américaine, 7h30 heure française, après une vie entière de souffrance et d’abus. Elle n’était ni innocente, ni étrangère, ni engagée politiquement, elle était plutôt le fruit de la misère, de la violence ordinaire poussée à son paroxysme. La dernière fois que des femmes avaient été exécutée par l’État fédéral c’était en 1953, Bonnie Brown Heady pour meurtre. Quelque mois plus tôt, un McCarthysme triomphant faisait brûler Ethel Rosenberg sur la chaise électrique comme jadis les sorcières. L’ère moderne a remplacé le feu par l’électricité, l’après guerre les forces démoniaques par le socialisme. Dans les années 70, le progrès a introduit l’injection létale à la liste des supplices. Le progrès, toujours le progrès, un bel argument, surtout quand il sort de la bouche nauséabonde de conservateurs pour justifier et maintenir les traditions les plus ignobles et rétrogrades. Le supplice par injection létale n’est en rien un progrès. 20 minutes en moyenne entre le moment où le supplicié rentre dans la chambre d’exécution et sa mort effective. C’est le temps qu’il nous faut pour regarder tranquillement dans son canapé un épisode de South park ou des Simpson en se gaussant grassement de la bêtise de ses idiots d’américains.
La bêtise des Américains et de leur président, parlons-en. N’est-il pas plus simple de voir de la bêtise chez les Américains plutôt que des intérêts politiques, électoraux, des enjeux de domination ? Cela nous permet de ne pas regarder ce qui se passe ici. La cause des dérives autoritaires, autocratiques, réactionnaires aux USA c’est bien sûr la connerie des Américains, ce sont des cons, des conspirationnistes, des fans de monster truk et de junk food. Ce mépris que nombre d’entre nous a pour la classe des travailleurs des USA me fatigue. Au fond c’est un mépris pour nous même, les travailleurs et les travailleuse des États-Unis d’Amérique sont nos frères et nos sœurs, ils subissent la même exploitation que nous et sont manipulés par les mêmes médias de masse au service du capital. Mais c’est vrai qu’il est bien plus simple de penser qu’ils ne sont qu’une bande de débiles assoiffés de bière et de Rodéo. Ce qu’ils vivent ne se passera pas en France, on est bien trop malin. Ils nous ont quand même bien fait marrer ces débiles à écouter leur président déblatérer à tour de bras les mensonges conspirationnistes que porte l’extrême droite entre deux accusations de fake news. Ouais, il nous aura bien faire marrer ce con… À côté d’eux c’est vrai qu’on était nul, on avait juste un ministre de l’Intérieur, des députés, des polémistes, des journalistes, qui nous parlaient « d’islamo-gauchisme ». Bah ouais c’est évident les militants de gauche sont des islamistes en puissance. Tout comme eux, les gauchistes sont contre l’avortement et l’homosexualité. Tout comme eux ils défendent une ségrégation raciale et religieuse. Tout comme eux ils pensent que la nature a donné aux hommes et aux femmes, enfin surtout aux hommes, une fonction bien précise que chacun doit respecter. C’est évident, ce ne sont ni les conservateurs, ni les réactionnaires, ni les fascistes qui pensent cela, non c’est les gauchistes semble-t-il… Bref les responsables de toutes cette merde, ce se sont des gens, des militants, qui n’ont jamais été aux affaires, ce sont les gauchistes. Mais non, nous on est plus intelligent que ça, nous on croit pas des théories fumeuses comme tous ces débiles d’américains qui chantent de la country au coin du feu avec des chapeaux de cow-boys.
Chez nous aussi la réaction avance, bordel qu’elle avance vite, avec le même manque de finesse que ce qui se fait aux USA. La bourgeoisie, il faut la nommée puisque qu’elle s’octroie le droit de nommé les ennemis de la Nation, puisqu’elle se donne le droit de dire qui est un bon manifestant ou un black block, qui est un vrai gilet jaune ou un faux gilet jaune, un bon journaliste ou un journaliste militant, un étranger avec la volonté de venir voler les biens durement acquis par les travailleurs français ou un milliardaire saoudien wahhabite venu acheter des armes à la France sans la moindre intention de commettre un crime de guerre comme bombarder des écoles au Yémen… Donc la bourgeoisie avance, elle avance avec les bottes de la violence légitime appuyer par les médias dont elle est propriétaire. En avançant cette bourgeoisie réactionnaire renvoie la classe des travailleurs dans l’abîme dont elle avait su s’extirper par la lutte et la solidarité. Elle matte la classe des travailleurs par la violence ordinaire du management et du chômage de masse. Aux États unis d’Amérique, en France, qu’importe l’endroit, les cibles, les victimes de cette violence légitime de l’état sont systématiquement les mêmes, les pauvres, les étrangers ou ceux considérés comme tel, les marginaux, les militants politiques, les ouvriers, les journalistes, les fonctionnaires, les chômeurs… les déviants. Au fond la peine de mort n’est que l’avatar le plus effroyable de cette violence.
À l’heure où je finis ce texte, deux personnes seront mis au supplice de l’injection létale dans la chambre d’exécution de Haute-Terre dans l’Indiana cette semaine. La fin du mandat de Trump est sanglante, il est évident que personne ne sera gracié… Contrairement aux mercenaires de Blackwater graciés alors qu’ils ont tué quatorze civils irakiens ou nombres de vieux, riches, blancs, délinquants voir criminels, ami du président maffieux des États-Unis d’Amérique. La peine capitale comme les grâces, c’est politique, c’est électoral, c’est une histoire de classe et de réseau. De toute façon, ils n’ont rien à foutre de la vie des pauvres, ils n’en ont vraiment rien à foutre. Ils sont prêts à tout pour défendre leur pouvoir, leur sainte propriété privé des moyens de production, leurs valeurs immondes, leur ordre moral bien pensant qu’ils pensent légitime par nature.
À l’heure où je finis ce texte, je pense aux voix de George Moustaki et de Joan Baez, j’ai découvert la version originale bien plus tard. Elles me redonnent un peu d’espoirs… Et désormais je sais ce que signifie anarchiste.
» Maintenant Nicolas et Bart Vous dormez au fond de nos cœurs Vous étiez tous seuls dans la mort Mais par elle vous vaincrez «
L’ensemble des syndicats CNT du Maine-et-Loire sont solidaires des camarades réprimés-es et s’associent au communiqué de la CNT STE 33. La CNT 49 est solidaire de toutes et tous les camarades réprimés-es dans tous les secteurs d’activités. Nous soutiendrons toutes les actions qui visent à renverser le capital.
Bordeaux, le 23 Novembre 2020, communiqué de la CNT STE 33,
Après les collègues de Melle, ce sont des collègues du Lycée Mauriac à Bordeaux qui sont mis·es en cause pour leur participation à des rassemblements contre la mise en place des E3C.
La rectrice de Bordeaux, sur ordre du ministre de l’Éducation Nationale n’a de cesse de multiplier les pressions ne supportant pas que l’on porte la contestation voire seulement la contradiction. elle n’est pas un cas isolé et démontre, si cela est nécessaire, que la volonté de politique répressive du ministère Blanquer ne désarme pas.
Que cela soit vis à vis des élèves, comme nous avons pu le constater lors des manifestations de l’année dernière, ou contre les collègues, les faits de grève sont criminalisés.
Nous rappelons que l’éducation c’est aussi la liberté d’expression comme le gouvernement aime à nous le répéter en ce moment !
L’expression syndicale et les désaccords qui remontent de la base sur des réformes que l’on tente de nous imposer font partie de notre liberté d’expression.
Nous n’accepterons pas que l’on tente de nous faire taire !
Nous nous élevons contre cette politique répressive qui touche plus largement bien d’autres secteurs que l’éducation.
Nous exigeons l’abandon des procédures disciplinaires et des décisions prises à l’encontre de nos camarades.
A l’initiative de plusieurs organisations syndicales et associatives, des rassemblements sont prévus dans plusieurs villes de l’hexagone, le 17 novembre contre la proposition de loi liberticide sur la « Sécurité globale ». Notre confédération syndicale, la C.N.T se joint à l’ensemble des initiatives organisée en localité.
Ce mardi 17 novembre 2020, le groupe La République en marche (LREM) présentera en séance publique sa proposition de loi sur la sécurité globale. Ce texte s’inscrit dans la foulée du Schéma national du maintien de l’ordre promulgué le 16 septembre dernier par le ministre de l’Intérieur.
L’article 24 de cette proposition de loi interdit à toute personne de diffuser « l’image du visage ou tout autre élément d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale, autre que son numéro d’identification individuel, lorsqu’il agit dans le cadre d’une opération de police » et que cette diffusion a pour « but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique ».
En réalité, le fait de diffuser l’image notamment en direct serait donc, de fait, quasiment impossible.
Le seul fait de filmer ou de photographier conduira à des interpellations et des violences par les forces de l’ordre, comme c’est déjà trop souvent le cas aujourd’hui.
Clairement, c’est non seulement les journalistes, reporteurs-photo, reporteurs d’images, documentaristes, membres d’observatoires citoyens qui sont visés, mais aussi quiconque, qui avec son téléphone portable prendra des photos, notamment lors de manifestations ou de mouvements sociaux.
En revanche, les membres des forces de l’ordre pourront tout à loisir filmer ou photographier la population.
La démarche des députés LREM porteurs de cette proposition relaie la volonté du gouvernement qui entend museler encore un peu plus la classe ouvrière qui s’organise pour lutter contre un gouvernement au service du capital et du patronat. C’est aussi l’occasion de censurer la liberté d’informer, de s’exprimer, et par là-même de manifester.
Tout aussi problématique est l’introduction en urgence et au dernier moment d’un « délit d’entrave », dans la Loi de Programmation de la Recherche (LPR), visant à criminaliser les étudiant·e·s ou enseignant·e·s manifestant dans l’enceinte de l’université, qui pourraient alors encourir 3 ans d’emprisonnement et jusqu’à 45000€ d’amende.
la Confédération nationale du travail (CNT) appelle l’ensemble de la population à se joindre aux différents rassemblements organisés ce jour, dans le strict respect des règles sanitaires. Pour la liberté d’informer et d’être informé·e ! Pour la liberté d’expression contre une loi liberticide !
L’ensemble des syndicats CNT du Maine-et-Loire condamne ce crime odieux. Il est pour nous une obligation de continuer de faire de l’éducation populaire pour pallier aux carences du capitalisme et de l’état. L’absence de débat, la destruction du service public de l’éducation et sa privatisation ont contribué et encourager tous les fanatismes.
Le 25 mai 2020, George Floyd est mort à Minneapolis (Minnesota) tué par la police, pour un délit mineur. Son crime le plus important être noir !
Sabri, 18 ans, mort à Argenteuil (Val-d’Oise) dans des circonstances plus que troubles alors qu’une voiture de la police se trouvait à proximité quelques minutes avant son décès. Durant le confinement, entre le 11 mars et le 20 avril, 5 personnes sont décédées des suites d’une intervention policière en France à quoi s’ajoutent toutes les violences physiques, passages à tabac et insultes racistes documentées durant cette période.
Le 19 juillet 2016, Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise), Adama Traoré mourrait pour les mêmes raisons entre les mains de la Gendarmerie !
Samedi 30 mai 2020, Jérusalem (Palestine), Iyad Elhalak est tué par la police d’occupation Israélienne qui croyait qu’il était armé. Son crime, être Palestinien !
1 novembre 2019, Paulo Paulino Guajajara, un gardien de la forêt du peuple Guajajara, est tué par des trafiquants de bois (région amazonienne d’Arariboia, Etat du Maranhão). Son crime, défendre les terres de son peuple face à l’avancée des colons incité et protégé par la police brésilienne.
Les milliers de victimes de la répression des manifestations de « Gilet Jaunes », des Quartiers populaire, syndicales (loi travail, loi macron, réforme des retraites, etc.) en France.
Le harcèlement continue des forces répressives dans les quartiers de la Roseraie, de Belle-Beille, de Monplaisir, et plus largement sur Angers !
Nous pourrions encore et encore lister à travers le monde les victimes de violences policières…
La CNT 49 réclame la justice pour toutes les victimes et condamne la police pour ce qu’elle est, une force répressive au service de la classe dominante !