Posts Tagged ‘anti-imperialisme’

Israël hors de nos stades !

mercredi, novembre 13th, 2024

Les syndicats CNT du Maine-et-Loire soutiennent l’appel de l’Association France Palestine Solidarité contre le match de football France-Israël qui doit se tenir le jeudi 14 novembre au stade de France. Un pays pratiquant l’apartheid et un génocide doit être mis au ban de la société.

Israël hors de nos stades, nous refusons le sportswashing des crimes contre l’humanité ! Demandons l’annulation du match France – Israël et l’exclusion de l’équipe d’Israël de toute compétition internationale !
Je signe la pétition de l’AFPS.

La paix maintenant, Palestine libre !

mercredi, novembre 22nd, 2023

À la CNT 49, nous avons appris avec soulagement le cessez-le-feu à Gaza. Mais ce soulagement, c’est immédiatement transformé en colère, 4 jours seulement !

Quatre petits jours pour échanger des otages et des prisonniers et puis recommencer à tuer sans discontinuer. Lire et entendre tous les dirigeants du monde se féliciter d’une telle « victoire » nous rend malade.

Les fachos de Netanyahou vont pouvoir fourbir leurs armes et se remettre à tuer dès ce délai passé. Quant au Hamas islamiste et fasciste, il va pouvoir instrumentaliser cette pause pour laisser croire aux palestiniens-ennes qu’il se soucie de leur sort.

Les gouvernements impérialiste, autoritaire, fasciste, essayent de faire croire au monde qu’ils œuvrent pour la paix tout en armant, finançant et soutenant les deux belligérants. Le peuple de Palestine est bien seul, coincé entre une occupation génocidaire et un pouvoir autoritaire qu’il soit du Hamas ou du Fatah !

Les peuples de Palestine, et d’Israël ont droit à la paix. Renverser les gouvernants des deux pays est une priorité. Instaurer une démocratie directe sur les deux territoires, proclamer un état de Palestine viable, est la seule façon d’arriver à la paix.

Pas de guerre entre les peuples, guerre sociale contre le capital !

Manifestation vendredi 24 novembre, 17 h 30, Mairie d’Angers.

Pour la paix entre les peuples, justice et respect des droits du peuple palestinien

samedi, octobre 14th, 2023

Publié le samedi 14 octobre 2023

Personne ne peut se réjouir de la guerre et des mort·es qu’elle produit. On ne peut que comprendre la douleur des proches des victimes civiles israéliennes qui éprouvent cette horreur.

Nous la comprenons car nous pleurons, aux côtés de nos camarades palestinien·es, les 230 victimes des colons ou de l’armée d’occupation en 2023, le millier de morts et plus de 5000 blessé·es palestinien·es depuis ce week-end.

Nous la comprenons car nous n’oublions pas les 4900 prisonnier·es politiques palestinien·nes, dont beaucoup subissent des mauvais traitements ou de la torture. Parmi elles et eux, plus de 1 000, dont 5 enfants, sont des prisonnier·es administratifs, incarcéré·es sans jugement et sans espoir de sortie.
La vie des Palestiniens et de Palestiniennes est rythmée par les drames de la colonisation, de l’occupation et d’une politique d’apartheid.

Les destructions de villages en 1948 se sont poursuivies par les destructions incessantes de maisons palestiniennes, comme à Silwan près de Jérusalem et dans le reste des territoires occupés, ainsi que l’expulsion de toujours plus de Palestiniennes et Palestiniens de leurs terres. Les droits des réfugié.e.s, et notamment le droit au retour, reconnu par l’ONU, continuent à être bafoués.
De plus en plus de terres sont colonisées, réduisant à peau de chagrin le territoire sous autorité palestinienne, morcelé en plusieurs enclaves par des murs de séparation. Les terres agricoles sont réquisitionnées ; participer aux récoltes, c’est prendre le risque de se faire lyncher par des colons. Les enfants sur le chemin de l’école sont pourchassé·es, humilié·es. Ces derniers mois, il ne se passe pas une semaine sans qu’un ou plusieurs palestiniens soient tués par l’armée israélienne dans les territoires occupés.
Le quotidien du peuple palestinien est un enfer produit par un État raciste, ségrégationniste, criminel et bafouant le droit international. Cette réalité est pire encore pour la population de Gaza, (un des territoires les plus densément peuplé au monde, constitué essentiellement de réfugiés de 1948) qui subit un blocus depuis 15 ans. Un symbole de la vie à Gaza : 87 % de l’eau y est non-potable. Enfermée dans cette prison à ciel ouvert, la population tente de survivre, et ce sous des bombardements réguliers de l’armée israélienne ces dernières années.

Quel espoir reste-il aux Palestiniennes et Palestiniens ?

L’offensive militaire du Hamas doit être comprise dans ce contexte et cette perspective. Nous ne partageons clairement pas son projet de société. Mais cela ne doit pas nous empêcher de reconnaître le droit légitime des Palestinien·es à se défendre et résister contre la colonisation et l’occupation, pour leur autodétermination et leur liberté.
L’ensemble des gouvernements israéliens sont responsables de cette situation, avec la complicité des puissances de ce monde, comme la France. Et du côté palestinien, l’Autorité palestinienne, corrompue, ne cesse de collaborer avec l’occupant.
Ce week-end, des civil·es israélien·nes ont été touché·es par les combats. Dans une société où tout le monde fait un service militaire en armes, avec des missions visant à opprimer la population palestinienne, il est difficile d’espérer que la société civile israélienne reconnaisse la responsabilité de ses dirigeants. Espérons que les Refuzniks et les quelques opposant·es israélien·nes à la colonisation soient enfin entendus. C’est l’un des espoirs de paix.

La réponse militaire implacable, qui ne fait sans nul doute que commencer, s’abat sur l’ensemble de la population palestinienne, comme a l’habitude de le faire l’État israélien. Des bombardements incessants dans la bande de Gaza, des centaines de mort·es et milliers de blessé·es, des hôpitaux et équipes médicales ciblées. Dans l’impossibilité de fuir, la population sera dans les jours qui viennent sous blocus complet, sans eau, sans électricité, sans gaz. Dans le reste des territoires occupés la majorité des déplacements sont bloqués, et les provisions dans certains villages ne tiendront pas plus d’une semaine.

De nombreux États réaffirment leur soutien à Israël, sans questionner la situation coloniale, dont pour beaucoup sont complices.

Tant que cette cécité volontaire devant tant d’injustice, tant que ce refus de reconnaître au peuple palestinien tout droit et notamment celui à l’autodétermination se poursuivront, tant que la réalité des populations sera niée et déformée, aucune solution juste ne pourra émerger car on ne s’appuie pas sur le mensonge.

La CNT-F forte de son soutien sans faille aux luttes de décolonisation et d’émancipation se tiendra toujours du côté des faibles face aux puissants et réaffirme le droit à l’autodétermination des peuples.

La solidarité internationale au peuple palestinien contre la colonisation et l’occupation sera à renforcer d’autant plus aujourd’hui.

« ولا بديل, لا بديل عن تقرير المصير »
« Il n’y a pas d’alternative à l’autodétermination »

CNT, Secrétariat International

https://international.cnt-f.org/Pour-la-paix-entre-les-peuples-justice-et-respect-des-droits-du-peuple-palestinien.html

Attaque fasciste contre les Palestiniens

mardi, février 28th, 2023

La CNT 49 condamne avec force l’attaque sanglante des colons israéliens sur leurs voisins palestiniens à Huwara (agglomération de Naplouse). Plus de quarante-cinq bâtiments incendiés, quatre vingt dix huit civils palestiniens blessés, un sauveteur du croissant rouge palestinien tué. Cinq heures de lynchage sous le regard complice de l’armée et de la police israélienne. Le gouvernement fasciste de M Netanyahou ayant à peine condamné, confirmant la politique de punition collective d’Israël envers les Palestiniens.

Pas de guerre entre les peuples, guerre social contre le capital !

Communiqué de la CNT-F : Solidarité contre les assassinats politiques des Kurdes en France ! Stop à la complicité du pouvoir français avec l’État turc !

vendredi, décembre 2nd, 2022

C’est avec un terrible effroi, une profonde tristesse et une colère noire que nous avons appris vendredi 23 décembre 2022 la mort de nos trois camarades kurdes tués par balles, ainsi que l’état de santé grave de trois autres camarades.

La CNT-F présente ses plus sincères condoléances et son entière solidarité aux familles des victimes, aux proches et amis, à la communauté kurde en France, aux camarades du Conseil Démocratique Kurde en France (CDK-F), et à tous les militant·es kurdes en France et celles et ceux qui combattent au Kurdistan.

L’homme qui a ouvert le feu au sein du Centre culturel Kurde, siège du CDK-F, au cœur du Xème arrondissement de Paris, était connu pour des faits de violences ciblant des étrangers. Il venait de sortir de prison et était en attente de jugement pour l’attaque au sabre commise en décembre dernier à Paris. L’extrême droite assassine ici comme ailleurs, et partout le gouvernement et certains médias leur offrent des espaces de paroles et de pouvoir. L’État français ne considère pas les attaques d’extrême droite au même titre que les autres attentats et il ne reconnaîtra jamais qu’il laisserait des services secrets étrangers agir en toute impunité sur le sol français.

Nous rejoignons les positions des camarades kurdes : l’État turc de Recep Tayyip Erdoğan a certainement orchestré cet attentat, ce sont des assassinats politiques !
Pour l’heure, la justice française ne retient que la qualification de « racisme » pour instruire le procès de l’assassin. Cela montre le déni et le mépris vis-à-vis des proches des victimes, et des représentants du CDK-F dont le siège a été attaqué. Iels qualifient de terroriste l’attentat qui vient d’avoir lieu, en lien avec des éléments précis et circonstanciés qu’ils mettent en avant, et souhaitent que cela soit pris en compte dans l’enquête.

En effet, ces meurtres sont commis à quelques jours de la commémoration des 10 ans du triple assassinat de trois militantes kurdes :
Sakine Cansız, Fidan Doğan et Leyla Şaylemez, perpétré dans le 10ème arrondissement de Paris dans la nuit du 9 au 10 janvier 2013, assassinat commandité par l’État turc avec la complicité du pouvoir français.
Assassinat pour lequel il n’y a toujours ni vérité ni justice !

Point essentiel, les tirs ont débuté exactement au moment où devait normalement débuter une réunion nationale du mouvement des femmes kurdes en France, rassemblant pas moins de quatre-vingt personnes. Réunion qui devait préparer la grande manifestation du 7 janvier prochain pour la commémoration des 10 ans du triple assassinat des trois femmes kurdes en janvier 2013.

Cette réunion a été décalée au dernier moment d’une heure en raison des problèmes de transport ce jour-là.
Cela aurait pu se traduire en véritable massacre de plusieurs dizaines de militantes kurdes. Un féminicide de plusieurs femmes aurait aussi été l’objectif du tueur.

Objectif qu’il a atteint quand même : Evîn Goyî (Emine Kara). Assassinée au Centre kurde, elle était une responsable du mouvement des femmes kurdes en France au niveau international. Elle était depuis longtemps une combattante au Rojava. Au front, les armes à la main, contre l’Etat islamique. Elle avait été blessée à Raqqa. Elle était venue en France se faire soigner. Sa demande d’asile avait été rejetée par les autorités françaises. Elle était très impliquée dans la solidarité au soulèvement en Iran.
Blessée par balle sur le palier du Centre kurde, le tueur l’a poursuivie à l’intérieur pour l’exécuter.

Abdurrahman Kizil, assassiné au Centre kurde, était un militant âgé et infatigable. Présent à toutes les occasions militantes organisées, et quasi quotidiennement au Centre kurde. Il a voué toute sa vie à la cause de son peuple.

Mîr Perwer, assassiné au restaurant en face du Centre Kurde, était un jeune artiste, chanteur et musicien, engagé pour la cause de son peuple, et connu par la communauté kurde. Il avait été emprisonné en Turquie car il chantait dans sa langue, le kurde, et ses paroles dérangeaient le pouvoir turc. Il résidait en France depuis plusieurs années, il avait le statut de réfugié politique. Il fréquentait très souvent le Centre Kurde.

Comme Sakine, Fidan et Leyla, nous ne les oublierons jamais.

La communauté kurde est encore une fois meurtrie, nous partageons votre peine et votre douleur camarades kurdes. Lire la suite sur le site du secrétariat international de la CNT.

Le soutien à la Palestine est pas un crime

mercredi, mars 23rd, 2022

Israël dissout et classe terroriste des groupes de défense des droits des Palestiniens sur son territoire et dans les territoires occupé. La folie fasciste et libérale de l’état d’Israël contamine ses alliés. Darmanin ministre du gouvernement néo-libéral Macron a décidé de dissoudre le Comité Action Palestine et le Collectif Palestine vaincra. Pour la CNT 49, c’est non. Nous soutiendrons la lutte des Palestiniens et de ceux qui les aident. STOP APARTHEID !

Antifa jusqu’au bout, avec la Gale et Lyon Antifa à jamais !

mercredi, mars 23rd, 2022

La CNT 49 condamne la décision de Darmanin et de son gouvernement néo-libérale de dissoudre la GALE, un mouvement Antifa de Lyon. Le néo-libéralisme s’accommode bien des néo-nazis, comme le démontre le tapis rouge pour Zemmour et Le Pen sur les plateau de télé. Les anarchistes, les antifa, les libertaires, les communistes révolutionnaire eux dérangent. L’état de non-droit a décidé de s’en débarrasser par une répression judiciaire, d’abord contre nos médias comme Nantes Révolté, mais aussi contre les groupes politique. L’attaque contre l’un de nous est une attaque contre toutes et tous ! Soutien ! No Pasaran ! Ci-dessous le communiqué des camarades.

Depuis décembre 2021, la préfecture fait peser sur notre groupe la menace d’une possible dissolution. 

Ses fondements ? Le relais via les réseaux du groupe d’une vidéo du Lyon Antifa Fest montrant notamment des slogans anti-police lors d’un concert, puis quelques mois plus tard celui de l’appel du mouvement « Les Soulèvements de la terre » à assiéger Bayer-Monsanto le 5 mars à Lyon.

Darmanin a indiqué vouloir dissoudre le groupe, après avoir fait un signalement au ministère de la justice, et demandé aux services du ministère de l’intérieur d’entamer des investigations sur la GALE et le Lyon Antifa Fest. 

Ce jeudi 17 Mars des documents de déclenchement de la procédure de dissolution ont été notifiés à des individus considérés par la préfecture comme appartenant à notre groupe.

Depuis mercredi 16 mars, c’est un véritable dispositif de harcèlement qui s’est mis en place : des militant.e.s ont été suivi.e.s dans la rue jusqu’à leur domicile et leur travail, iels sont harcelé.e.s au téléphone par la police lyonnaise, venue sonner et tambouriner aux portes très tôt le matin et à plusieurs reprises dans la journée.1  

Nous ne sommes bien sûr pas surpris.e.s par cet acharnement, dans un contexte où le gouvernement ne se cache pas d’être en campagne de criminalisation des organisations que les médias qualifient « d’ultra gauche ». D’autres groupes politiques tels que le média Nantes Révoltée et plus récemment les associations Comité Action Palestine et le Collectif Palestine Vaincra sont également visés, voire même déjà dissous. N’oublions pas non plus la dissolution visant les associations musulmanes comme le CCIF.

C’est pour cette raison que nous avons toujours refusé d’alimenter les outils répressifs de l’état même s’il est utile de rappeler que la procédure de dissolution a historiquement été établi contre les ligues fascistes des années 30. 

Cette dissolution ne nous fait pas peur. L’excitation de Darmanin à dissoudre tous les groupes dits d’ »ultra-gauche » est un coup électoral pour attirer les électeurs de droite. C’est aussi un moyen de réprimer un mouvement d’ampleur qui se prépare face à un potentiel second quinquennat du gouvernement macron qui s’apprête à poursuivre sa politique antisociale et raciste.

Cette procédure témoigne d’une double-méprise des gouvernants. 

La première c’est de penser qu’en dissolvant des groupes on arrête des mouvements de contestation, qu’on arrête la pensée émancipatrice de se diffuser et la critique de se poursuivre. Au contraire, nous espérons que ces démarches politiciennes auront l’effet inverse. De fait, le procès des 7 antifascistes a eu pour seul effet de resserrer des liens déjà existants et de créer un mouvement de soutien d’ampleur. Cette répression est pour nous l’occasion de construire à nouveau un rapport de force et ce avec tout notre camp politique.

La seconde méprise c’est de penser que nos organisations reprennent les mêmes structures hiérarchiques que celles des institutions :  que nous avons des bureaucrates, des chef.fe.s, des représentant.e.s et qu’en les déboutant et en les faisant taire ils annihileront les luttes. On a beau leur expliquer, ils ne comprennent pas ou peut-être pensent-ils qu’il est préférable de nous pousser dans la clandestinité ? 

Par cette dissolution c’est l’autonomie lyonnaise qui est visée. Or c’est beaucoup donner à la GALE que de penser qu’elle représente tout un mouvement qui par essence est hétérogène, disparate et massif. Encore une fois, les fantasmes du gouvernement alimentent une répression sans précédent : la dissolution d’un groupe antifasciste. 

Ceci est un appel à un soutien d’ampleur de la part de tous nos allié.e.s et des forces progressistes dans leur ensemble. Depuis quelques mois, notre camp social vit un basculement répressif, faire bloc est notre seule issue.

On ne dissout pas la révolte qui gronde. À jamais antifasciste.

Myanmar, soutien aux camarades contre la junte

mercredi, mars 23rd, 2022

Collecte de fonds réussie pour soutenir les camarades de la FGWM au Myanmar !En janvier, l’ICL a décidé avec le Federation of General Workers Myanmar – FGWM d’initier une collecte de fonds visant à collecter 10 000 euros.Deux mois plus tard, nous sommes heureux de vous annoncer que nous avons reçu une somme totale de 14 285 Euro ! C’est une aide énorme pour les camarades au Myanmar et une expression de solidarité internationale pratique.Nous remercions tous ceux qui ont contribué à faire de cet effort un succès !Le 11 mars, les membres du groupe de travail de la LCL Asie et de la FGWM se sont réunis pour coordonner les prochaines étapes. Le comité des finances de la MGWM composé de 5 membres décidera au cas par cas de la façon dont l’argent est dépensé sur le terrain.Pour l’instant, le soutien des membres de la FGWM incarcérés et la coordination des refuges pour ceux qui se trouvent dans les clandestins sont prioritaires.texte complet en anglais : https://www.iclcit.org/successful-fundraising-to-support…/

N’oublions pas le Rojava

mercredi, mars 23rd, 2022

Pendant que le dictateur Poutine attaque l’Ukraine, la guerre en Syrie elle se poursuit toujours. Au Rojava (Fédération démocratique du nord de la Syrie), une démocratie directe et libertaire, est sous agression permanente du dictateur Erdogan et des fanatiques de DAESH. Tout en étant sous un cessez le feu précaire avec les deux fascistes Bachar El-Assad/Poutine.

La CNT 49 continue a son humble niveau de soutenir les camarades du Rojava !

Vive la Makhnovtchina !

mercredi, mars 23rd, 2022

Pas d’impérialisme, pas de nationalisme, pas de guerre entre les peuples, guerre contre le capital ! La CNT 49 apporte son soutien aux anarchistes de Russie et d’Ukraine !

Bataillon antifasciste et anarchiste d’Ukraine

Non à la Russie, non à l’OTAN, non au nationalisme Ukrainien ! Vive la Makhnovtchina [1]

Russie

[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9e_r%C3%A9volutionnaire_insurrectionnelle_ukrainienne

[2] Pour soutenir la lutte : https://abcdd.org/spende/ (Anarchist Black Cross)