Posts Tagged ‘soutien’

Ce n’est pas dans les salons que l’écologie se fait

samedi, novembre 6th, 2021

Un petit coucou à la #COP26…

Etudiant-e-s à Saumur une situation de mépris social

jeudi, novembre 4th, 2021

Les syndicats CNT du Maine-et-Loire ont pris connaissance des conditions d’études et de vie des étudiant-e-s à Saumur. Le mépris social saute aux yeux. Encore une fois la « France des grandes villes contre la France de la campagne ». Aucunes revendications des organisations étudiantes qui luttent depuis des années ne sont prises en comptent. Alors nous nous imaginons bien qu’à Saumur petite ville de « campagne » leurs sorts passent aux oubliettes. Les Gilets Jaunes avaient aussi demandé un meilleur service public en zone rural, nous voyons là aussi qu’ils ont été entendus…

la CNT 49 apporte tout son soutien à la lutte des étudiant-e-s du saumurois.

Abandon de la loi « Rilhac »

lundi, septembre 27th, 2021

Le syndicat des travailleur-euse-s de l’éducation du Maine-et-Loire CNT, demande le retrait de cette loi qui souhaite transformer l’école en entreprise. Nous demandons un investissement massif dans l’éducation et pas des mesures managériale.

NON l’éducation n’est toujours pas à vendre !

lundi, septembre 13th, 2021

Les syndicats CNT du Maine-et-Loire appellent à rejoindre et à soutenir les camarades de l’éducation en grève le 23 septembre.

Liberté pour Vincenzo

mercredi, août 21st, 2019

Le Secrétariat International de la CNT dénonce l’arrestation et la mise en détention de Vincenzo Vecchi, jeudi 8 août, alors qu’il se rendait à son travail en Bretagne (France). Vincenzo risque une extradition vers l’Italie afin de purger des condamnations délirantes (12 ans d’enfermement) pour la participation à des manifestations : anti-G8 de Gênes en 2001, antifasciste de Milan en 2006. Face aux lourdes peines prononcées par la justice, Vincenzo a choisi l’exil, pour finalement s’installer dans la région de Rochefort-en-Terre, où il travaille, réside et a des ami·es.

Étant donné le contexte politique tendu et fascisant en Italie, mais aussi les incertitudes nombreuses qui pèsent sur la façon dont la justice italienne a pu juger des manifestant·es (notamment suite aux manifestations de Gênes, l’Italie a été condamnée par la CEDH), nous nous opposons à son extradition, et demandons la remise en liberté immédiate de Vincenzo.

Ce drame rappelle, si il en était encore besoin, que le concept de « maîtrise des frontières » a un sens bien précis pour les États et l’extrême-droite : elles sont fermées aux migrant·es, ouvertes aux capitaux et, quand il le faut, ne sont pas un frein aux extraditions notamment dans les affaires d’ordre politique. Rappelons que l’Italie a un long passé dans ce domaine, comme l’a illustré encore ces derniers mois l’affaire Battisti. Or la demande d’extradition de Vincenzo est bien à remettre dans un contexte politique : celui de l’extrême-droite au pouvoir appuyant la condamnation d’un militant antifasciste et anticapitaliste sur la base d’un code pénal qui date de l’Italie mussolinienne (code Rocco, 1930) !

Pour autant, ce simulacre de justice fait aussi malheureusement écho en France. Depuis quelques années, et plus particulièrement depuis quelques mois, nous vivons la mise en place d’une justice d’abattage, ciblant les pauvres et les militant·es.

C’est pourquoi nous appelons à rejoindre et créer des comités de soutien partout où cela est possible et à organiser des actions de solidarité. Nous appelons également à se mettre en relation avec le comité de soutien à Vincenzo pour les frais de justice et aider à sa défense juridique, ainsi qu’à signer la pétition de soutien.LA SOLIDARITÉ N’A PAS DE FRONTIÈRES !

Le Secrétariat International de la CNT

 pour plus d’infos : comite-soutien-vincenzo.org
 la pétition : http://chng.it/Y66TqGyT
 les chèques de soutien (à l’ordre de Michelle Coat) :
Michelle COAT, La Magdeleine, 56 220 Malansac

Un toit est un droit, pas une marchandise

jeudi, juin 20th, 2019

Les familles du campement de la rue du Maine ont été expulsées « manu-militari » par les chiens de garde du capital. Très prochainement, ce sera au tour des habitant.es de La Grande Ourse – Ex-CPAM réquisitionnée de subir cette agression.

Concert de soutien à la Grande Ourse le 30 mars

mercredi, mars 13th, 2019

Contre la misère, pas de frontières, tous solidaires !

vendredi, février 1st, 2019

Angers ne fait pas exception à la règle et possède aussi son lot de misère. En effet, depuis des années, on assiste chaque soir à une scène scandaleuse devant la Halte de nuit : des êtres humains n’ont nul endroit où dormir parce que les 61 places de la Halte de nuit sont prises d’assaut.

Comment peut-on prétendre qu’un pays classé 6ème puissance économique mondiale, n’a pas les moyens de loger les personnes sans-abri ? Les pouvoirs locaux qui n’ignorent rien de cette situation, en sont responsables. Et pourtant, malgré les appels qui leur sont adressés par les collectifs et les associations organisant des veilles devant le 115, ils ne font que peu d’efforts pour améliorer la situation. Ainsi, lorsque la Halte de nuit a changé d’adresse, passant de Rouchy au Chemin de traverse, ses possibilités d’hébergement sont restées les mêmes malgré la nécessité criante d’une augmentation des places.

La nouvelle Halte de nuit, sciemment excentrée, est un véritable ghetto dissimilé entre deux voies de chemin de fer et une route, visant à cacher la misère. Ajouté au manque de places, l’héber-gement d’urgence se fait dans des conditions insupportables de vétusté. Depuis août 2018, des dizaines de personnes se retrouvent chaque soir sans solution pour passer la nuit. Pourtant, en juin 2018, Angers disposait d’environ 12 900 logements vides (chiffres INSEE), de quoi loger toutes les personnes dans la rue sans exception.

Nul besoin de promulguer une loi Asile et Immigration pour faire du tri. Un toit c’est un droit, zéro personne à la rue !

Soutien aux militant.es du NPA agressé.es par des nervis d’extrême droite

lundi, janvier 28th, 2019

Alors que des milliers de personnes défilaient samedi 26 janvier à Paris, à l’occasion de l’acte XI du mouvement des gilets jaunes, des nervis d’extrême droite ont agressé à deux reprises le cortège des camarades du NPA.

Cette agression envers nos camarades révolutionnaires, témoignent une fois de plus que les partis d’extrême droites sont et seront toujours du côté de la classe capitaliste et du côté de la bourgeoisie. Leurs agissements, leurs violences à l’égard des militant.es du mouvement social, visent à faire le jeu du patronat en voulant affaiblir les mobilisations en cours.

La Confédération Nationale du Travail apporte son soutien et témoigne de sa solidarité au NPA, mais plus largement à l’ensemble des militant.es anticapitalistes, militant.es ouvrier.res victimes de répression policière et fasciste.

No pasaran !

Le bureau confédéral de la CNT

Construire une révolution sociale et libertaire

lundi, janvier 28th, 2019

Depuis le 17 novembre, des centaines de milliers de personnes protestent lors d’actions variées en enfilant des gilets jaunes. Si les revendications sont très diverses,  elles expriment  clairement une colère contre l’exploitation et le mépris. Sur des ronds points, dans certaines communes, des exigences démocratiques s’affirment comme à Caen, Paris (18è), Angers, Seiches, Corzé, Saumur, Segré,…

Il est plus que temps que l’ensemble des travailleurs et travailleuses, en activité ou au chômage, salariés du public comme du privé ou indépendants, en formations ou à la retraite portent haut et fort des revendications pour une hausse des salaires et des minimas sociaux.

Contrairement aux dires des politiques et des journalistes, nous en avons les moyens. L’opulence insolente des plus riches et le gaspillage monumental des moyens (armement nucléaire comme conventionnel, publicité…) sont là pour nous le prouver tous les jours.

Pour remédier à cette situation inique (les pauvres toujours plus pauvres et les riches toujours plus riches) et sortir du capitalisme, nous devons imposer d‘autres solutions démocratiques, économiques, sociales et culturelles.

Un changement radical de système s’impose.

Nous ne pouvons compter sur aucun représentant pour assumer ce changement. Nous devons toutes et tous reprendre en main nos vies en autogérant la société.

Exiger dans l’immédiat la hausse du SMIC (privé et public) ; l’augmentation des salaires (y compris socialisés) ; l’arrêt de l’entreprise de démantèlement de la protection sociale en cours et la sécurisation économique de l’ensemble des travailleurs et des travailleuses en premier lieu à travers l’assurance chômage et les minima sociaux ; la taxation du capital ; défendre et développer partout les services publics sont des revendications que nous partageons avec ce mouvement populaire.

La CNT 49, partout où c’est possible, appelle à participer aux assemblées générales décisionnaires.

Elle appelle à participer aux diverses actions décidées par ces mêmes assemblées générales.

Elle appelle à rejeter toutes formes de discrimination (racisme, sexisme, LGBTphobie, antisémitisme…)

Défendant la liberté de circulation et d’installation, la CNT 49 rappelle que l’égalité des droits, donc la régularisation de tous les sans papiers ne sera un problème que pour les patrons qui les exploitent. La France a aussi les moyens d’être une terre d’accueil.

Les répressions policière et judiciaire doivent cesser. Nous demandons le désarmement des forces de police.

Samedi 12 janvier, l’acte IX a rassemblé plus de monde que la semaine passée dans les rues d’Angers. La CNT 49 soutien les futurs manifestations.

Texte original par la CNT-STE.