La vague conservatrice et fasciste déferle sur l’Union Européenne et la France. Le Front (RN) est arrivé très largement en tête dans notre pays. La faute à un président Macron qui lui déroule le tapis rouge depuis qu’il est au pouvoir, dans la droite ligne de Messieurs Sarkozy et Vals. La faute aussi à la désunion de la Gauche, marqué par un PS revanchard qui souhaite redevenir la première force politique de ce côté de l’échiquier après toutes ses trahisons. Mais le Parti Communiste n’est pas en reste, en tentant un « nationalisme de gauche » le PC ce retrouve sans poids politique.
A nous, anarchistes, libertaires, révolutionnaires, de montrer notre détermination en organisant la contre attaque. Ce n’est pas dans les urnes que la bataille se gagne, mais sur les lieux de travail et dans la rue. Nous espérons que les forces émancipatrices et progressistes ne seront pas criminalisées comme elles le sont depuis le début de l’ère macroniste !
Les syndicats du Maine-et-Loire de la Confédération Nationale du Travail appellent à rejoindre toutes les initiatives pacifiques visant à lutter contre la vague brune.
Le projet de loi constitutionnelle modifiant le corps électoral de la Nouvelle-Calédonie expose une nouvelle fois l’autoritarisme du Président de la République et de ses soutiens. Cette modification des règles électorales pour l’élection du Congrès de Nouvelle-Calédonie n’a qu’un objectif: maintenir à tout prix ce territoire sous contrôle de la France. C’est un projet néo-colonial qui nie le droit à l’autodétermination du peuple Kanak et à l’auto-gouvernance de la Nouvelle-Calédonie. Le but étant de donner le droit de vote aux élections des trois provinces Néo-Calédonienne à des métropolitains pour faire pencher la balance du côté de la France.
Pour nous, CNT 49, si l’objectif était celui du droit pour toutes et tous les résidents-es en France de pouvoir voter, alors l’État devrait accorder selon « ses critères » le droit de vote à l’ensemble des gens vivant en France depuis « x années ». Ce n’est évidemment pas le cas. Le gouvernement français et une partie des politiques Calédoniens sont hypocrites, seuls leurs intérêts économiques prime et non l’égalité des droits. La volonté de grand remplacement par les anciens colons et les nouveaux habitants venus de France attirés par le nickel depuis 1960 est évidente.
Le gouvernement porte seul la responsabilité des violences, des destructions, des blessés et des morts dans ces violences qu’il a lui-même déclenché par sa volonté toute puissante de passer en force sans aucune concertation des populations locales.
Nous revendiquons et exigeons :
– le droit de vote pour tous les étrangers en France ;
– la libération et l’abandon des poursuites pour les inculpés des mobilisations en cours ;
– des actions de solidarité ici en France contre les deux projets de loi et en solidarité au mouvement actuel en Kanaky ;
Obéir ou réfléchir, subir ou agir, nos choix sont clairs et révolutionnaires !
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT n’ont pas la moindre intention d’assister sans réagir à la mutation de l’Éducation nationale en machine à broyer la jeunesse à coup de SNU, d’uniforme, de Marseillaise et de compétition scolaire.
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT ne comptent en aucun cas collaborer à la mise en œuvre de ce programme réactionnaire et démagogique à rebours des valeurs émancipatrices et égalitaires d’un service public d’éducation populaire.
• Les travailleurs et travailleuses de l’éducation de la CNT seront en grève et souffleront sur les braises autant qu’il le faudra pour rallumer l’espoir et réduire en cendre l’école capitaliste et le monde qui l’a engendrée.
La journée internationale des travailleurs-euses (1er mai), est une journée de lutte du mouvement ouvrier instaurée par la IIe Internationale en 1889. L’occasion pour le monde ouvrier du monde entier de manifester ensemble contre le capital et leurs guerres !
Obéir ou réfléchir, subir ou agir, nos choix sont clairs et révolutionnaires !
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT n’ont pas la moindre intention d’assister sans réagir à la mutation de l’Éducation nationale en machine à broyer la jeunesse à coup de SNU, d’uniforme, de Marseillaise et de compétition scolaire.
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT ne comptent en aucun cas collaborer à la mise en œuvre de ce programme réactionnaire et démagogique à rebours des valeurs émancipatrices et égalitaires d’un service public d’éducation populaire.
• Les travailleurs et travailleuses de l’éducation de la CNT seront en grève et souffleront sur les braises autant qu’il le faudra pour rallumer l’espoir et réduire en cendre l’école capitaliste et le monde qui l’a engendrée.
la Confédération national du travail du Maine-et-Loire, appelle ses adhérents-es, sympathisants-es à se mettre en grève. Ainsi qu’a rejoindre la manifestation le 8 mars prochain.
La situation des femmes dans le monde empire, guerres, négations de leurs droits, prédations. La France n’est pas épargnée. Nous disons que cela suffit, le temps de la riposte est venu.
• La CNT exprime toute sa solidarité avec les femmes et les luttes féministes du monde entier, fruit de plus d’un siècle de mobilisation initié par Theresa Serber Malkiel et les mouvements féministes socialistes du début du XXᵉ siècle.
• La CNT exige l’égalité sociale réelle, la fin des discriminations liées au genre au travail comme dans toutes les sphères de la société et que cesse le refoulement de nos camarades exilées fuyant guerres, misère et dérèglement climatique.
• La CNT soutien les initiatives d’organisation des femmes sur leur lieu de travail et en dehors, sans patron, sans patronne, sans machiste et sans récupération par des mouvements réformistes cherchant le compromis quitte à laisser nos camarades sur le bord du chemin. Nous ne voulons pas d’aménagements du système patriarcal, nous voulons son abolition et, avec lui, la fin du capitalisme et du sexisme.
Les syndicats du Maine-et-Loire de la CNT s’opposent totalement au Pacte Enseignant, au SNU, à l’uniforme à l’école, au choc des savoirs, et toutes autres réformes réactionnaires de l’éducation nationale.
Pour nous l’école doit être émancipatrice et démocratique, gratuite. Nous croyons en l’égalité des chances réelle et non à une école qui fait le trie pour le patronat. L’école n’est pas une réserve de main d’œuvre pour les patrons. Nous rejetons le formatage des élèves en « bon petit soldat du capitalisme ». Nous rejetons également la militarisation de la société par le SNU et l’uniforme. Vos guerres ne sont pas nos guerres.
Obéir ou réfléchir, subir ou agir : nos choix sont clairs et révolutionnaires !
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT n’ont pas la moindre intention d’assister sans réagir à la mutation de l’Éducation nationale en machine à broyer la jeunesse à coup de SNU, d’uniforme, de Marseillaise et de compétition scolaire.
• Les travailleuses et travailleurs de l’éducation de la CNT ne comptent en aucun cas collaborer à la mise en œuvre de ce programme réactionnaire et démagogique à rebours des valeurs émancipatrices et égalitaires d’un service public d’éducation populaire.
• Les travailleurs et travailleuses de l’éducation de la CNT seront en grève et souffleront sur les braises autant qu’il le faudra pour rallumer l’espoir et réduire en cendre l’école capitaliste et le monde qui l’a engendrée.