Archive for the ‘CNT-STPCIST 49’ Category

Angers : Non aux expulsions sans relogement !

samedi, octobre 28th, 2017

L’heure est grave car c’est au nom de la République française que la Justice à Angers a décidé d’une expulsion sans délai des familles du campement « des expulsés » rue du Maine.
à chaque fois, les occupants d’auto-réquisitions avaient en général 2 mois pour sortir. Dans notre cas, à la veille de l’hiver, c’est tout de suite !

La Mairie d’Angers, certainement fière de sa solidarité active, donnerait 7 jours, depuis la remise du commandement de quitter les lieux vendredi 20 octobre 2017, pour que tous les habitants du camp évacuent les lieux. Elle ne propose aucune alternative… La suite de l’article sur Indymedia Nantes

Pétition « Non aux expulsions sans relogement ! » : https://www.change.org/p/mairie-d-angers-non-aux-expulsions-sans-relogement/u/21769006

Non à la suppression des contrats aidés

mercredi, octobre 18th, 2017

Convergence des luttes pour gagner !

vendredi, octobre 13th, 2017

Taxer les dividendes et les grandes fortunes, pas de baisse des APL !

vendredi, octobre 13th, 2017

Le gouvernement a annoncé son intention de retirer 5 euros par mois sur les allocations logements (APL-AL) par ménage à partir du 1er octobre, soit 400 millions d’euros par an. Cette mesure est injuste car elle touche uniquement les plus modestes d’entre nous, celles et ceux qui ont des difficultés à boucler leurs fins de mois.
Malgré le tollé général, le gouvernement persiste à vouloir réaliser en 2018 des économies, encore plus drastiques sur le budget des APL dans le parc social, à hauteur de 2 milliards d’euros. Prenant ainsi le risque de mettre en grandes difficultés des centaines de milliers de locataires, pauvres ou modestes, qui n’auront jamais les capacités de se reloger par eux-mêmes.

En effet, depuis vingt ans, les loyers et les charges ont progressé bien plus rapidement que les allocations et ressources des ménages à bas revenus. La moindre baisse des APL peut donc entraîner une hausse des impayés de loyers et des expulsions locatives.

Nous, associations de mal-logés, de locataires, d’étudiants, de résidents, de jeunes, de consommateurs, de personnes âgées, d’aide aux personnes défavorisées, de citoyens, syndicats, organisations de bailleurs sociaux avons donc décidé de nous unir contre ces décisions injustes, mais aussi inefficaces au niveau budgétaire à moyen terme, car une personne expulsée ou à la rue devra être prise en charge à un coût parfois bien plus élevé, au plan de l’hébergement d’urgence, de la santé…

Nous demandons solennellement et d’une seule voix au gouvernement de :

– revenir sur sa décision de ponctionner 5 euros des allocations logement et sur ses projets de coupes budgétaires en 2018 sur les bailleurs sociaux,

– appliquer l’encadrement des loyers en vue d’alléger la charge des locataires, comme le prévoit la loi dans les zones tendues,

– préserver l’équilibre économique à long terme des bailleurs sociaux afin qu’ils poursuivent leur mission sociale, entretiennent correctement leur patrimoine, accroissent leur production de logements sociaux et très sociaux, en particulier dans les communes qui en manquent, afin de reloger des ménages précaires dans de bonnes conditions et de continuer à répondre à l’ensemble des besoins sociaux.

Samedi 14 octobre
Mobilisations dans toute la France.
Collectif Vive l’APL !

Premiers signataires :
AC, ACDL, ACSC, Advocacy France, AFOC, AFVS, AITEC, ATTAC, Bagagérue, CAL, CFDT, CGL, CGT, CLCV, CNAFAL, CNL, Collectif Logement Paris 14, Collectif SDF Alsace, Collectif SDF de Lille, Compagnons Bâtisseurs, Coop’HLM, COPAF, CSF, DAL, Emmaüs France, Emmaüs Solidarité, FAGE, FAPIL, Fédération des Acteurs de la Solidarité, Fédération nationale des Associations régionales HLM, Fédération Offices Publics de l’Habitat, Femmes Egalité, FEP, FNASAT Gens du Voyage, Fondation Abbé Pierre, Fondation Armée du Salut, FSU, Habitat et Humanisme, HALEM, Indecosa-CGT, Ligue des Droits de l’Homme, MNCP, Pas Sans nous, Petits Frères des Pauvres, Planning Familial, RESEL Ile-de-France, Le Refuge, Secours Catholique – Caritas France, SNL, SNUP Habitat FSU, SoliHa, Sud Santé Sociaux, Syndicat de la Magistrature, UNAFO, UNCLLAJ, UNEF, UNHAJ, Union syndicale Solidaires, UNIOPSS, USH, USP…

 

Les syndicats CNT 49 soutiennent pleinement la lutte contre la confiscation des aides aux plus précaires et rejettent les cadeaux faits aux riches par M Macron !

Signer la pétition du collectif

Le 10 octobre convergence des luttes !

lundi, octobre 9th, 2017

Les syndicats C.N.T. 49 appellent les salariés du public, du privé, étudiants, lycéens, retraités, précaires, privés d’emplois, travailleurs de la terre à s’organiser pour aller vers la grève générale. Non à la politique de la finance, non à Macron.

Rendez-vous:

10H30 Place Leclerc à Angers

Manifestation Anticapitaliste et antifasciste le 14 octobre à Guingamp

lundi, octobre 9th, 2017

La lutte contre l’extrême droite est une urgence !

L’attentat de Charlottesville ; le bateau C-star chasseur de migrants ; l’obscurantisme fasciste de Daech partout ; la dictature d’Erdogan …

Partout dans le monde les fascistes gagnent du terrain, leurs militants et organisations multiplient les actions, démonstration de force et crimes.

A Lille, une série de meurtres homophobes et racistes, à Nantes, deux jeunes laissés pour morts… Les migrants trop souvent pris pour cible : des attaques de centres d’accueil, comme à Nantes.

Cette liste ne sera jamais exhaustive, car ces groupes sont de plus en plus présents partout : génération identitaire, GUD, Adsav, dissidence française, action française …

La politique ultralibérale -dans laquelle s’inscrit trop bien (…)

LA LUTTE DES CLASSES EST INTERNATIONALE !

lundi, octobre 9th, 2017

Solidarité avec nos camarades catalans et catalanes

La CNT tient à exprimer sa solidarité de classe avec le peuple catalan qui s’est mobilisé pacifiquement et de manière massive pour défendre son droit à décider de son avenir.

Nous condamnons fermement la répression policière de l’État espagnol qui n’a pas hésité à utiliser la force pour tenter d’empêcher la tenue de ce référendum, afin de ne pas avoir à prendre en compte son résultat.

Plus de 844 militant.es ont été blessé.es par les forces policières lors des différents rassemblements en catalogne, depuis le 20 septembre dernier. Notre soutien n’est pas sur la question de fond qui touche la population catalane sur son indépendance ou non (cette question appartient aux travailleur.euses catalan.es), mais bien de condamner la répression policière et de l’État espagnol, et aussi de réaffirmer notre solidarité de classe, en revendiquant :

  • le droit démocratique du peuple de Catalogne à décider lui-même de son projet de société à venir ;
  • Un soutien incontestable de la grève interprofessionnelle organisée par plusieurs organisations syndicales, pour défendre les droits et revendications des travailleurs et travailleuses en Catalogne.
  • La condamnation des violences policières et des déclarations du gouvernement espagnol qui sont une véritable provocation et une déclaration de guerre au peuple catalan en rejetant de fait toute expression politique de la population. Pire, en organisant des contre manifestations, visant à diviser les travailleur.euses entre eux et elles.

Leurs agissements ne peuvent que renforcer la solidarité internationale que nous avons pu exprimer aux catalans et aux catalanes à travers plusieurs rassemblements. A Paris, Perpignan, Nîmes, Montpellier, tout comme dans d’autres pays, comme à Montréal.

SI NOTRE REGARD SE PORTE ACTUELLEMENT SUR LA SITUATION EN CATALOGNE, NOUS N’OUBLIONS PAS LES AUTRES VICTIMES DE LA RÉPRESSION DE L’ÉTAT ESPAGNOL !

  • On n’oublie pas la loi « mordaza » ou loi du « baillon » et les descentes de polices de l’« opération pandora » qui ont eu lieu il y a deux ans : Ces lois visent à faire taire toutes celles et ceux, militants et militantes du mouvement social, en opposition avec l’État espagnol qui les affiche comme des ennemie.s de l’intérieur. Le franquisme a encore et toujours de beaux jours devant lui.
  • Au pays basque (Euskal Herria), on n’oublie pas les plus de 400 prisonniers et prisonnières politiques qui croupissent en prison que ce soit au nord comme comme dans le sud, y compris ceux et celles qui ont « disparu » (en France comme en Espagne), l’interdiction de certaines organisations de jeunesses ou même l’interdiction de BATASUNA (parti de la gauche indépendantiste).

Il s’agit également de rester mobilisé.es ici en France, où nous ne pouvons oublier les répressions sauvages dont ont été victimes les manifestants et manifestantes contre la loi Macron l’an dernier, et en premier lieu les jeunes, objet d’une politique policière de la terreur qui s’inscrit dans la même volonté de bâillonner la contestation populaire.

De la même façon, L’utilisation abusive des mesures de l’État d’urgence pour perquisitionner chez des militants et militantes du mouvement social et les assigner à résidence, et d’une façon générale les lois antisociales qui ne cessent de s’accumuler, doivent nous maintenir dans la plus grande vigilance quant à la défense de nos droits fondamentaux.

CONTRE LA VIOLENCE D’ÉTAT,
POUR LES LIBERTÉS ET LA DÉMOCRATIE DIRECTE
POUR LE DROIT À L’AUTODÉTERMINATION DES PEUPLES

Le logement n’est pas une marchandise, c’est un droit !

mercredi, octobre 4th, 2017

LA VIOLENCE SEXISTE CONTRE DES MILITANTES A ENCORE FRAPPÉ

lundi, septembre 25th, 2017

Même avec retard, il nous semble important de condamner fermement l’agression physique de féministes par le service d’ordre de la CGT à Paris le 12 septembre, jusqu’au très violent cassage de gueule à coup de casques de moto. Parmi les cinq victimes d’hématomes et contusions, l’une d’entre elle a été admise aux urgences. Nous affirmons notre soutien à ces militantes anticapitalistes et antipatriarcat. Il nous semble inimaginable de banaliser ce passage à tabac en un simple incident entre groupes portant des points de vue divergents lors d’une manifestation. Ces brutalités d’hommes solidaires relève bien d’un parti pris masculiniste offensif. D’autant que lors de la manif du 21 septembre, le service d’ordre de la CGT à Marseille a été en droite ligne avec son homologue parisien, utilisant gazeuse et coups notamment contre des militantes féministes du cortège.

Ces violences insoutenables prouvent une fois de plus les pratiques virilistes, maintes fois dénoncées, d’éléments de service d’ordre, mais interrogent aussi l’apathie des réactions, au moins de la sphère militante. Le gouvernement, les institutions auraient donc des déclarations récurrentes contre les violences faites aux femmes alors qu’un milieu qui se dit imprégné de vigilance et de lutte contre le patriarcat, garderait un silence radio gêné. Il ne nous paraît pas possible de passer sous silence ces violences, au sein même d’une manifestation, et de ne pas les condamner avec fermeté. Aussi pour que la participation à des cortèges s’envisage dans des conditions de sécurité pour tout•es, ce qui devrait pourtant être une donnée indiscutable, un bien commun précieux de l’action politique et sociale dans la rue. Cette agression ravive le besoin de vigilance dans nos rangs pour que nos positions soient crédibles dans les faits. La société de justice sociale pour laquelle nous luttons ne peut faire l’impasse sur de telles dominations de genre.

Les violences faites aux femmes représentent le paroxysme d’oppressions diverses d’un univers machiste et masculin. Il nous faut les dénoncer, d’où qu’elles viennent. Quant aux slogans misogynes, sexistes, homophobes, ils sont encore trop courants, rarement mis en cause. Il convient d’êtres toutes et tous très vigilant•es pour les dénoncer, en expliquant en quoi ils puisent dans un registre d’oppressions, propageant plus ou moins consciemment les dominations.

Avant d’envisager des mesures de préventions de ces violences, il faut que des voix les plus nombreuses s’élèvent pour les condamner avec fermeté et sans ambiguïté.

SINR 44, Nantes

Contre Macron et son monde : en marche le 21 septembre

mardi, septembre 19th, 2017

Contre les ordonnances Macron, la casse du droit du travail, la baisse des APL, la destruction de la protection de l’enfance en Maine-et-Loire, contre la guerre, toutes et tous dans la rue le 21 septembre.

Angers 11H00 place Leclerc, 13H00 place du Ralliement (Protection de l’enfance), 18H00 Place de la Paix (contre la guerre)

Cholet 10H30 place Travot

Saumur 10H30 place Bilange

Segré 11H00 Rond point du Super U (barrage filtrant)