Posts Tagged ‘Grève’

Contre l’université start-up !

mardi, février 6th, 2018

L’Assemblée Nationale a adopté le projet de loi relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants le 19 décembre 2017. La plate-forme Admission Post Bac (APB) est remplacée dans l’urgence par « parcoursup », censée être fonctionnelle courant janvier. Le gouvernement a profité du caractère arbitraire du tirage au sort mis en place par APB pour prétendre que la sélection à l’université était la seule solution. Si le tirage au sort n’était évidemment pas une solution, la sélection à l’université l’est encore moins. Mais face à l’échec du tirage au sort, l’État peut imposer sa nouvelle réponse en affirmant que celle-ci est bien plus légitime en permettant aux élèves les plus « méritant·e·s » d’obtenir la formation de leur choix.

Les élèves candidatant à une formation pourront désormais se voir répondre « oui si » par les enseignant·e·s de la fac chargés de classer l’ensemble des candidats, ce qui les obligera à suivre un ou des modules complémentaires pouvant durer jusqu’à un an, sans assurance d’être pris·e·s après, et avec les conséquences financières que cela représente pour certain·e·s de passer une année sans revenus (qui en plus ne comptera pas au niveau académique). Il s’agit là d’une sorte de redoublement d’office avant même d’avoir mis les pieds dans sa formation. Cette mise à niveau, sera obligatoire pour tout·e élève ayant obtenu un « oui si », mais les contours en sont encore flous. En 2016, 7 élèves sur 10 étaient obligé·e·s de travailler (que ce soit de manière régulière ou non) pour financer leurs études. Leur demander de financer une année nulle ne peut donc qu’être un motif de découragement.

Les capacités d’accueil de certaines filières où il y a plus de demande que d’offre seront parfois augmentées, mais sans augmenter les effectifs d’enseignant·e·s, déjà à bout de souffle, et pas suffisamment pour satisfaire entièrement la demande. On voit donc difficilement comment les candidat·e·s obtenant un « oui-si » pourraient tou·te·s être admis·e·s après avoir suivi leurs modules complémentaires: cela servira donc plutôt à décourager les élèves dans l’espoir qu’ils et elles se réorientent d’elles même. Un calcul cynique qui risque de fonctionner.

Les élèves qui n’auraient été accepté·e·s dans aucune filière se verraient indiquer une proposition de formation en fonction de leur projet d’étude et de leurs notes: on leur enlève donc maintenant le droit de faire les études de leur choix. L’État considère que dorénavant l’objectif est de faire des études quelles qu’elles soient et non plus de faire les études que l’on souhaite. Or quand un·e élève se retrouve dans une filière qui ne lui correspond pas, l’échec est généralement au rendez-vous.

Si l’objectif de cette réforme est de réduire les taux d’échec en licence cela risque d’être compliqué avec de telles mesures. En 2016, seuls 29% des étudiant·e·s inscrit·e·s en licence obtenaient leur diplôme au bout de 3 ans. Favoriser la réussite implique non pas d’instaurer une sélection, mais de permettre aux étudiant·e·s de suivre les études qui leur correspondent dans de bonnes conditions et, pour cela, il faut augmenter le nombre de places dans les différentes filières. Les réformes prévoient une licence à plusieurs vitesses en fonction du niveau de l’étudiant·e: celle-ci pourra désormais se passer en 2, 3 ou 4 ans. Là encore ce sont les élèves les plus démuni·e·s qui vont être touché.e.s par cette réforme qui demandera à certain.e.s de financer leurs études pendant 4 ans et non plus pendant 3 ans.

Ces réformes ne font qu’accroître la compétition entre les établissements, mais seront aussi un véritable frein pour les élèves venant d’établissements situés en zone d’éducation prioritaire, car il ne fait nul doute qu’à niveau égal un·e élève venant d’un grand lycée parisien passera toujours avant un.e élève issu d’un lycée de banlieue.

Les enseignant·e·s se retrouvent elles et eux aussi affecté·e·s par ces réformes. Les profs principaux devront désormais déterminer dans quelle filière doit s’orienter l’élève (avis qui sera transmis aux universités). Or cela ne fait absolument pas partie de leur attribution.

En bref, tout le monde est perdant: les élèves découragé·e·s qui ne tenteront même pas le coup, celles et ceux qui perdront un semestre ou un an sans même qu’on leur ait laissé une chance d’essayer, les enseignant·e·s qui auront plus d’élèves et devront aussi assurer les modules complémentaires sans augmentations d’effectifs.

Il existait pourtant une façon de satisfaire tout le monde: il faut augmenter les effectifs et accepter tou·te·s les candidat·e·s ! Mais pour ça bien sûr, il faut plus de moyens. Où trouver l’argent ? Par exemple dans les milliards du crédit impôt recherche qui sert d’évasion fiscale aux grandes entreprises, ou dans ceux de le recherche militaire qui sert à inventer l’impérialisme français de demain ?

Contre l’université start-up, la CNT soutient toutes les tentatives concrètes pour une recherche et un enseignement supérieur au service de tout·e·s :

Expérimenter des pédagogies alternatives, développer les universités populaires et les UFR autogérées, permettre à tout·e·s la formation tout au long de la vie et l’accès à plusieurs domaines de connaissance plutôt qu’une spécialisation unique et étriquée, s’organiser en équipes et laboratoires non-hiérarchiques, développer et utiliser les logiciels libres, donner libre accès aux résultats de la recherche, publier dans les revues gratuites plutôt que dans celles à haut « impact factor », avoir une indépendance dans les choix des sujets de recherche… Mais cela ne suffit pas, car le système capitaliste et les états centralisés et bureaucrates font tout pour entraver le développement de ces initiatives. Seules la lutte et l’organisation collective permettront d’établir un rapport de force suffisant afin d’obtenir ce que nous voulons :

  • Une Université et une Recherche autogérées où les buts et les orientations se décident ensemble, étudiant·e·s, personnel enseignant et non-enseignant.
  • L’arrêt du recours aux contrats précaires et à la sous-traitance au sein des universités. Une Université et une Recherche de qualité, cela commence par des emplois stables pour l’ensemble du personnel.
  • Rééquilibrer les financements entre universités et grandes écoles, et à terme, redonner à l’université la mission de former les futur·e·s ingénieur·e·s.
  • Une abolition des hiérarchies salariales; et cela commence par une augmentation des plus bas salaires.
  • Que l’encadrement d’un·e doctorant·e soit assuré par une équipe ou un laboratoire auquel il/elle serait intégré·e comme tout autre personnel du laboratoire et non plus par un·e unique chercheur·euse ayant tout pouvoir sur l’avenir de l’étudiant·e.
  • L’abandon du projet de loi introduisant une sélection à l’entrée en licence.
  • Le transfert des milliards du Crédit Impôt Recherche vers la recherche publique et de ceux de la recherche militaire vers les autres domaines.
  • La régularisation de tou·te·s les étudiant·e·s sans papiers.

Ce dernier point est particulièrement d’actualité. En effet, depuis septembre, partout en Île de France, les préfectures se refusent à recevoir les dossiers de demande de régularisation, tout dépôt est jusqu’à ce jour impossible. Cela est l’aboutissement d’une dégradation terrible des conditions d’accueil des étudiant·e·s étranger·e·s depuis 10 ans. Alors que des dépôts collectifs (qui offrent le plus de chance aux étudiant·e·s notamment isolé·e·s) étaient encore acceptés, les étudiant·e·s de L1, L2 et L3 étaient également autorisé·e·s à déposer des dossiers. Ce n’est plus le cas depuis novembre 2015.

Nous appelons ainsi à se rendre au rassemblement organisé par des étudiant·e·s sans papiers avec le soutien de RUSF. (Mercredi 31/01 à 10h au 21 rue de la montagne Sainte-Geneviève 75005)

CNT FTE

EHPAD et ADMR: Une urgence sociale à se mobiliser pour nos services publics

mercredi, janvier 31st, 2018

Depuis plusieurs années, les agent.es des EHPAD, comme celles et ceux issu.es d’autres établissements relevant de la fonction publique hospitalière et des services à la personne, subissent une grave détérioration de leurs conditions de travail.

Les différentes réformes au sein des établissements publics n’ont fait que dégrader profondément les conditions de travail de l’ensemble des personnels. A coup de coupe budgétaire, de mesures d’austérité, l’ensemble des salarié.es est confronté à :

-Un rythme de travail insupportable :le personnel soignant est soumis à un temps défini par résident.e (soins, toilettes etc), avec un effectif à la baisse et une charge de travail revue à la hausse ;

– Des horaires particulièrement contraignants : 10/12 heures, horaires en coupé ;

– Une flexibilité et une mobilité qui s’accentuent : Difficulté à prendre des congés, personnel réquisitionné pendant les repos pour pallier le sous-effectif ;

– Recours à des contrats de plus en plus précaires, à coup de CDD renouvelés tous les mois, sans réelles perspectives d’embauches, et des temps partiels imposés.

– Des bas salaires, ouvrier.e comme personnel soignant avec aucune valorisation des métiers.

LA COUPE EST PLEINE ! DEVONS-NOUS ACCEPTER CE QUOTIDIEN ET INFLIGER A NOS RÉSIDENT.ES UNE FORME DE MALTRAITANCE « AUTORISÉE » SOUS COUVERT DE PRODUCTIVITÉ ET DE RENTABILITÉ ? QUEL SERVICE PUBLIC SOUHAITONS-NOUS ?

Car la réalité du quotidien est là :

Faute de personnel, faute de moyens mis en œuvre, les résident.es sont les premier.es victimes des politiques économiques mises en place par les différents gouvernements. Juste bon.nes à payer leur chambre, au prix de leur survie finalement :

-Douché.es une fois par semaine (quand c’est possible) ;

-10 min de toilette par jour ;

-Hygiène douteuse dans les chambres faute de temps et de personnel ;

-Repas servis à la va-vite etc… ;

-Infantilisation des personnes agées ;

-Animations rares et sans attraits ;

La réforme sur la tarification accentuera ces graves dégradations !

Pour désamorcer la situation, la ministre de la santé vient d’informer que 50 millions d’euros seront débloqués. Une aumône, un écran de fumée face à l’asphyxie des EHPAD et des associations d’aide à domicile. Car cela ne représente guère plus de 2500 postes sur les 7000 EHPAD existants….

Élever la voix, ou partir…

Voilà à quoi l’ensemble des agent.es sont confronté.es depuis quelques années au sein des différents établissements. L’impression de ne pas être entendu.es alors qu’ils et elles sont au cœur des métiers. Des directions qui imposent encore toujours plus de nouvelles formes d’organisation du travail pour satisfaire les exigences budgétaires. Cela a de de graves répercussions morales et physiques sur l’ensemble du personnel (augmentation de la charge de travail, culpabilisation permanente etc.). Pire, les cadres de santé poussent vers la sortie celles et ceux qui ne sont pas d’accord.

Ça ne peut plus durer, libérons la parole !

Combien d’agent.es sont résigné.es, en plein craquage ? Il est temps de porter nos revendications collectivement. Pour instaurer un semblant de démocratie dans les établissements, des directions procèdent à la consultation des salarié.es à travers un questionnaire soi-disant anonyme, sur les conditions de travail. Il s’agit en réalité d’une escroquerie, permettant de calmer la colère des agent.es.

Pour la CNT, il y a une urgence sociale à se mobiliser, à faire entendre nos voix..

Une lutte exemplaire…

Le personnel de l’EHPAD des « opalines » dans le jura, a montré avec force et détermination (117 jours de grève !), que collectivement, par un rapport de classe, nous pouvons obtenir des victoires sociales. Les camarades ont obtenu une prime de 450 euros par an, 3 semaines de congés supplémentaires et la création de deux postes d’aides soignantes.

La fédération des travailleuses et travailleurs de la santé et du social de la CNT appelle donc l’ensemble du personnel, l’ensemble des familles et plus largement l’ensemble de la population à se mobiliser face à la marchandisation des services publics hospitaliers.

Pour la dignité et pour réel accompagnement des personnes âgées

nous contacter :

Mail : fede.sante-social@cnt-f.org

La Poste : Gros malaise à la PIC Angers

vendredi, décembre 15th, 2017

Depuis de longs mois, les agents de la PIC Angers assistent au démantèlement de leur outil de travail, à la disparition massive des emplois et à l’organisation de la précarité par le recours massif à l’emploi temporaire de longue durée, à la multiplication et concurrence malsaine des statuts (fonction publique, CDD CDI, intérim) dans un dialogue social sauce « La Poste » !

Les organisations syndicales et le personnel sont malmenés et utilisés comme cautions et otage du bulldozer de la rentabilité à tout prix !  Au prix de l’insécurité, de l’intimidation, de la menace !

Les agents de la PIC ont débrayé, puis observé 2 jours de grève en solidarité avec un agent licencié brutalement, dans des conditions qui ont scandalisé une majorité de ses collègues.

 

Le système de management postal montre encore une fois sa violence, qui conduit du mépris au cynisme !

La devise éculée « diviser pour mieux régner » est toujours de rigueur chez nos managers !

La CNT soutient sans réserve notre collègue privé de ses moyens de subsistance.

 

Notre solidarité est la seule attitude digne face à un monde du travail déshumanisé, où nous ne sommes qu’une ressource consommée, maltraitée, jetée !

 

Angers le 14/12/2017

 

CNT-PTT 49
c/o L’Étincelle
56, boulevard du Doyenné, 49100 ANGERS

– Contact : ptt49@cnt-f.org

Manifestations ? Négociations ? NON GRÉVE GÉNÉRALE !

jeudi, novembre 2nd, 2017

Syndicats CNT du Maine et Loire : Interpro 49 / PTT 49 / STE 49

Contre les lois antisociales, Riposte radicale !

Appel à la Grève générale et illimitée !

Les capitalistes ont passé la vitesse supérieure, eux !

Après toutes les lois Sarkozy et celles des autres avant lui. Après les lois Macron, qui ont pris les travailleurs le droit de choisir leur aide aux prud’hommes. Après la loi El Khomri (inspiré par Macron), et son cortège de destructions, notamment des prud’hommes. Après les ordonnances, qui finissent d’achever les CHSCT.

C’est maintenant la Sécu qu’ils veulent finir de nous enlever !

Comment vas tu payer ton traitement contre le cancer ? Contre le diabète ? Comment paieras-tu pour ta mère, ton père, ta fille ou ton fils ? Sais-tu seulement combien ça coûte ? Vendras-tu ta maison, payée à la sueur de front ? Comment feras-tu demain avec les miettes que Macron et ton patron te donneront ?

Ils diminuent les cotisations patronales depuis 40 ans, ils empêchent l’augmentation des salaires depuis tout ce temps et maintenant, quoi ?! Ils veulent diminuer les cotisations salariales en te promettant que cela augmentera ton salaire !

On te prend pour un con camarade, et tu le sais !

Dans le même temps, on produit tous collectivement 2 000 milliards d’€ de richesse par an. Les 500 familles les plus riches possèdent plus de 500 milliards d’€ de fortune. Macron leur en redonne en plus ! Alors que toi, tu es sensé de taire, baisser la tête et retourner au turbin !

Les centrales syndicales se chicanent entre elles pour savoir qui aura le plus dans la gamelle que leur donne le grand patronat depuis des années ; c’est que la soupe doit être bonne… Et pendant ce temps là, ces « partenaires sociaux » profitent de tes combats. Ils te somment de te mobiliser à la date de leur convenance et nous perdons tous. Leurs intérêts ne sont plus les nôtres !

Nous n’aurons que ce que nous prendrons.

Organisons-nous !

Il y a urgence camarade ! Sur le lieu de travail, en Assemblée Générale des travailleuses.eurs, décidons collectivement des moyens d’action dont nous avons besoin pour bloquer l’économie et forcer les capitalistes à rendre ce qu’ils nous ont volé. Prenons-nous en main et collectivement nous serons plus fort et le poing levé.

Seule la Grève Générale

et illimitée paie !

Dès le 16 novembre dans la rue, sur les lieux de travail, tous les jours !

Contre Macron et son monde : en marche le 21 septembre

mardi, septembre 19th, 2017

Contre les ordonnances Macron, la casse du droit du travail, la baisse des APL, la destruction de la protection de l’enfance en Maine-et-Loire, contre la guerre, toutes et tous dans la rue le 21 septembre.

Angers 11H00 place Leclerc, 13H00 place du Ralliement (Protection de l’enfance), 18H00 Place de la Paix (contre la guerre)

Cholet 10H30 place Travot

Saumur 10H30 place Bilange

Segré 11H00 Rond point du Super U (barrage filtrant)

 

La machine de guerre antisociale est en marche

mercredi, juillet 19th, 2017

Emmanuel Macron nous l’a annoncé : il ne veut pas perdre de temps pour sa nouvelle réforme du droit du travail. L’orientation est déjà fixée : donner au patronat le pouvoir de faire le droit en s’affranchissant une bonne fois pour toutes du « principe de faveur » qui a été au cœur de la construction historique du droit du travail en France.

Contre les travailleurs, une loi au service des patrons

La logique de cette loi, qui modifie le référendum d’entreprise, met fin au compte pénibilité et permet de licencier à moindre coût, est de poursuivre la dérégulation en renvoyant à la négociation d’entreprise le soin de fixer la norme en matière de droit du travail. Il s’agit ainsi d’achever l’inversion de la hiérarchie des normes : c’est-à-dire donner la primauté aux accords d’entreprise sur les conventions de branche et sur la loi. Autrement dit, faire prévaloir les accords là où les salariés sont le plus en position de faiblesse par rapport au patron.

Public – privé : nous sommes tous concernés

Ce projet de loi n’est qu’une première étape avant celle de la casse de la fonction publique.

La logique ? Attaquer le droit du travail privé pour ensuite s’en prendre aux fonctionnaires et leur appliquer les mêmes mesures en les présentant comme des privilégiés. Cette stratégie de division public/privé avait été mise en œuvre pour les retraites, par exemple.

Que nous promet Macron ? Le non-remplacement de 120 000 territoriaux, le rétablissement du jour de carence, le gel du point d’indice, l’éclatement de ce dernier selon les trois fonctions publiques (d’État, territoriale et hospitalière).

Diviser pour mieux régner : la politique de Macron est vieille comme le monde !

Que faire face à cette nouvelle régression sociale ?

Ce scénario n’est pas une fatalité, il ne tient qu’à nous de le faire échouer.

  • Puisque l’employeur nous met dans les cordes, qu’il a le rapport de force tant que nous sommes divisés, il faut retrouver l’unité des salariés.
  • Pour cela, le syndicat CNT est une arme. Pourquoi ? Parce que le syndicat CNT, c’est vous ! Pas de permanents pour vous dire quoi faire et comment le faire, mais d’autres travailleurs comme vous avec lesquels coopérer, mutualiser et se solidariser afin d’avancer nos revendications et faire reculer le patron. Contactez-nous !

Front Social Angers

mercredi, juillet 19th, 2017

Soutien à la protection de l’enfance !

mardi, juillet 4th, 2017

Le Conseil Départemental du Maine-et-Loire continu, sa politique ultra-libérale dans la protection de l’enfance. Les enfants ne sont pas des marchandises !

Signer la pétition de l’intersyndicale !

La destruction du Code du Travail décortiqué

vendredi, juin 30th, 2017

Le projet « d’assouplissement du Code du Travail » est une insulte aux travailleuses/eurs. Rarement l’attaque n’aura été aussi frontale et aussi massive. Le Syndicat des avocats de France a réalisé une série de 14 vidéos qui expliquent en détail ce qui va changer, mais pas pour le meilleurs.

 

 

La rue première force d’opposition à Macron et aux patrons ! Front Social !

vendredi, juin 16th, 2017